Netanyahu cherche immunité contre les accusations de corruption

0
190

Longtemps célèbre pour ses aptitudes à la survie, Netanyahu est prendre le risque de repousser les accusations qui mettent en péril son héritage et pourraient éventuellement lui atterrir en prison. (REUTERS)

Écrit par Isabel Kershner

Qui se bat pour son avenir, le Premier Ministre Benjamin Netanyahu d’Israël, mercredi, a demandé au parlement de lui accorder l’immunité de poursuites en trois greffe cas, rares et de contentieux de l’étape que les critiques disent viole le principe d’égalité devant la loi.

L’immunité demande est le dernier rebondissement dans la politique et juridique du drame, qui a paralysé le gouvernement Israélien.

Longtemps célèbre pour ses aptitudes à la survie, Netanyahu est prendre le risque de repousser les accusations qui mettent en péril son héritage et pourraient éventuellement lui atterrir en prison. Mais l’effort a également menace de polariser davantage une nation divisée, et de prolonger l’impasse politique qui a quitté le pays sans un gouvernement totalement opérationnel depuis près d’un an.

Soumises à peine trois heures avant le délai légal, l’immunité demande pourrait retarder pendant des mois, les affaires pénales contre Netanyahu, qui fait face à une élection générale en deux mois, le troisième en moins d’un an. Si elle est approuvée, l’immunité peut le tenir à l’écart de la cour pour aussi longtemps qu’il reste un membre du parlement.

Netanyahu a été mis en examen en novembre sur des accusations de corruption, de fraude et d’abus de confiance. Il a nié toute malversation.

Il avait gardé le pays de deviner son prochain mouvement, apparemment méfier que d’une demande d’immunité pourrait mettre en danger sa réélection les perspectives et celle de son conservateur parti du Likoud, en alimentant les accusations qu’il avait mis lui-même au-dessus de la loi.

Dans un effort pour limiter les dommages politiques, Netanyahu a minimisé l’effet de sa demande. Fournissant un rapport direct à la télévision en prime time, il a insisté que c’était une mesure “temporaire” qui serait valable que pour un seul mandat de parlementaire.

Il a dit que l’immunité était destinée à éviter les “politiques mises en examen dont le but est de nuire à la volonté du peuple”, ajoutant que, “Malheureusement, c’est ce qui s’est passé dans mon cas.”

Netanyahu, Israël plus longue portion de premier ministre, est en cours d’exécution pour un quatrième mandat consécutif à une élection, prévue pour Mars 2. Le pays n’a pas de limite sur le nombre de mandats d’un premier ministre ou un député peut servir.

La campagne, largement axée sur la Netanyahu est le destin, on avait déjà prévu de diviser. Deux précédentes élections, en avril et en septembre, débouché sur aucune conclusion, ni Netanyahu, ni son adversaire en chef, Benny Gantz du centriste Bleu et Blanc de la partie, capables de rassembler la majorité nécessaire pour former une solution viable gouvernement.

“Je n’ai jamais imaginé que nous allions voir le jour où un premier ministre d’Israël permettrait d’éviter, debout devant la loi et les tribunaux,” Gantz a déclaré dans une déclaration télévisée, immédiatement après l’annonce par Netanyahu.

“Aujourd’hui, il est clair que nous nous battons pour,” Gantz a déclaré. “Netanyahu sait qu’il est coupable.” Il a dit que le choix était entre “l’immunité, avant tout, ou les citoyens d’Israël, avant toute autre chose; entre le royaume de Netanyahu ou de l’état d’Israël.”

Netanyahu est accusé de négociation officielle favorise à coup de centaines de millions de dollars pour les médias Israéliens, les bosses pour illicite des cadeaux de cigares, de Champagne et de bijoux, ainsi que des nouvelles positives de la couverture. Il a longtemps soutenu que les enquêtes criminelles contre lui sont le résultat d’une chasse aux sorcières menée par élitiste forces en essayant de le démettre de ses fonctions par le biais de “fausses nouvelles” dans les médias libéraux et par les tribunaux.

L’immunité qui défend un député de la liberté d’expression est en effet “une institution constitutionnelle qui est très important,” a dit Suzie Navot, un professeur de droit constitutionnel à l’Striks l’École de Droit, près de Tel-Aviv. “Mais ce n’est pas le genre de l’immunité que Netanyahu est en train de parler.”

En vertu de l’Israël de l’immunité de la loi, qui a été modifiée en 2005, les législateurs n’ont plus immunité automatique, mais doit chercher à partir d’un organe parlementaire connu comme un Comité de la Chambre, dont la décision doit ensuite être ratifié par une majorité simple au parlement.

Le courant, le gouvernement provisoire n’a pas formé un Comité de la Chambre, et il peut ne pas être l’un pour discuter d’une demande de Netanyahu pendant des semaines ou des mois après le mois de Mars de l’élection, jusqu’à ce qu’un nouveau gouvernement soit formé. Une procédure judiciaire contre Netanyahu serait gelé jusqu’à ce que toute demande d’immunité pourrait être entendu.

Il n’est pas clair si Netanyahu pourrait fixer une majorité parlementaire de lui accorder l’immunité. Avigdor Lieberman, chef de file de l’extrême-droite Israel Beiteinu partie qui sert à être allié avec le Likoud de Netanyahu, et dont les voix Netanyahu aurait besoin, a déclaré mercredi soir qu’il n’aurait pas le soutien de Netanyahou de candidature pour l’immunité.

Pour toutes les dernières Nouvelles du Monde, télécharger Indian Express App