Sud-coréen de la cour écarte mandat d’arrêt pour Samsung chef

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Samsung Electronics vice-président Jay Y. Lee arrive à assister à une audience à l’Assemblée Nationale de Séoul, Corée du Sud, le 6 décembre 2016. REUTERS/Kim Hong-Ji

Un Sud-coréen de la cour a rejeté jeudi un mandat d’arrestation de la tête du Groupe Samsung , le plus grand conglomérat, au milieu d’un greffon scandale qui a conduit à la destitution du Président Park Geun-hye. Le pré de l’aube à la décision prise par le District Central de Séoul Cour pour permettre Jay Y. Lee pour aller à la maison est susceptible de venir comme un grand soulagement pour la société, dont le vide de leadership Lee a essayé de combler depuis que son père a subi une crise cardiaque en 2014.

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Lee, qui avait été mise en cause pour de 22 heures la semaine dernière et a eu lieu pour la nuit mercredi alors que la cour a rendu sa décision, à gauche de Séoul Centre de Détention portant un blanc sac et monta dans une voiture, sans parler à des journalistes. Le juge a déclaré dans un communiqué que l’arrestation n’était pas nécessaire.

“Après avoir examiné le contenu et le processus de l’enquête jusqu’à présent … il est difficile de reconnaître la nécessité et l’importance d’une arrestation à l’étape actuelle,” at-il dit. Samsung a déclaré dans un courrier de déclaration qu’il a apprécié “le fait que le fond de cette affaire peut être établie sans la nécessité de la détention”.

Le groupe phare, le Samsung Electronics, est le plus grand fabricant de smartphones, téléviseurs à écran plat et des puces de mémoire. Bureau du procureur spécial, lundi, a déclaré qu’elle chercherait à obtenir un mandat pour l’arrestation du groupe de la troisième génération de leader sur des soupçons de corruption, de détournement de fonds et de parjure. Lee avait nié les actes répréhensibles.

Parc, 64 ans, a été démis de ses fonctions le mois dernier par le parlement sur le trafic d’influence scandale. Si la décision est confirmée par la Cour Constitutionnelle, elle va devenir la Corée du Sud, premier dirigeant démocratiquement élu d’être forcé de bureau plus tôt. Le parc, qui reste dans le bureau mais dépouillé de ses pouvoirs, tandis que la cour décide de son destin, a également nié les actes répréhensibles.

Le procureur spécial a accusé Lee, de payer des pots de vin totalisant 43 milliards de wons ($36.70 millions d’euros) à des organisations liées à Choi Bientôt sil, ami du président, qui est au centre du scandale, pour sécuriser l’2015 de la fusion de deux filiales de ciment et de son contrôle de l’entreprise familiale. Cette semaine, le procureur spécial mis en accusation le président de l’office National des Pensions, le troisième plus important fonds de pension, sur des accusations d’abus de pouvoir et faux témoignage.