expliqué | Projet de loi anti-conversion : a pris forme en ’12 sous BSY, était moins strict

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Le ministre en chef du Karnataka, Basavaraj Bommai, prend la parole à l'Assemblée législative de l'État lors de la session d'hiver. (Twitter/@CMofKarnataka)

LE projet de loi ANTI-CONVERSION, autorisé jeudi, a pris forme lors du règne du BJP sous BS Yediyurappa en 2012. Mais les dispositions du projet de la version précédente étaient moins strictes.

Après avoir préparé le projet de loi de 2012 sur le Karnataka Dharma Swatantrya, la Commission juridique de l'État l'a envoyé au département juridique pour examen le 21 septembre 2013, quelques mois après l'arrivée au pouvoir du gouvernement du Congrès dirigé par Siddaramaiah. Après approbation, le projet était censé être discuté devant le Cabinet en 2016. Cependant, le gouvernement de l'époque ne l'a pas repris.

Le projet précédent ne considérait pas la conversion par mariage comme illégale. De plus, la charge de la preuve incombait à l'accusation.

https://images.indianexpress.com/2020/08/1×1.png Lire aussi | BJP et le Congrès accusent le commerce alors que l'assemblée du Karnataka débat du projet de loi anti-conversion

Le présent projet de loi stipule que tout mariage qui a eu lieu dans le seul but de conversion illicite de l'homme d'une religion avec la femme d'une autre, soit en se convertissant avant ou après le mariage, soit en convertissant la femme avant ou après le mariage, sera déclarée nulle et non avenue par le tribunal de la famille.

< p>Il dit également que la charge de la preuve incombe à l'accusé.

En outre, le projet précédent disait : « La peine pour infraction à la section provisoire peut aller jusqu'à un an d'emprisonnement ou avec une amende pouvant aller jusqu'à 5 000 roupies ou avec les deux.”

Dans le cas d'une femme, d'une personne appartenant à SC/ST ou d'un mineur, l'emprisonnement a été prolongé à deux ans et Rs 10 000 d'amende.

< p>Selon le dernier projet de loi, la peine sera de trois ans de prison mais qui pourra aller jusqu'à cinq ans avec une amende de Rs 20 000. En cas de SC et ST, de mineurs ou de personnes atteintes de troubles mentaux, l'emprisonnement s'étendra jusqu'à cinq ans et une amende de Rs 50 000.

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