Querelle autour d’un Staline lors de l’Exposition à Potsdam

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Avant 75 Ans, a commencé la Conférence de Potsdam. Les Décisions des Alliés marquent l’Allemagne jusqu’à aujourd’hui. Mais les Textes d’une Exposition dans le Château de Cecilienhof, apporter de la Russie, de la Culture, en Rage.

De la Terrasse du Château de Cecilienhof

Si la Répartition en zones d’occupation ou de la Fixation de la Frontière, les Résultats de la Conférence de Potsdam, le 17. Juillet a commencé en 1945, ont surtout une forte influence, mais aussi l’Ordre mondial après la Fin de la Seconde Guerre mondiale. Une présentation de l’Exposition sur le Lieu historique de la Rencontre, dans le Château de Cecilienhof à Potsdam, propose depuis Fin Juin, une “multimédia Voyage dans le temps” dans les quelque deux Semaines de l’été jusqu’à la Fin de la Réunion, le 2. En août 1945. Le Sommet des trois Puissances – etats-UNIS, le royaume-uni et de l’union Soviétique – est dans le Contexte d’une Réorganisation du Monde” apparaît dans le Titre. Cependant, à côté de Corona Limitations avait la Délivrance d’un Problème, les Organisateurs probablement n’avaient pas prévu: la Russie.

Le Gouvernement de Moscou a, pour sa Contribution au Projet de la Fondation des Châteaux et Jardins Prussiens de Berlin-Brandebourg (SPSG) retirée. Le Résultat: L’Exposition présente 133 Pièces de deux Douzaines de Pays, mais les russes, comme les Objets personnels de l’époque, Sowjetführers Joseph Staline, ne sont pas là.

Pour Staline, les avis divergent

Jürgen Luh a jusqu’à la fin, en espérant que les Pièces de la Russie, mais encore à venir. L’Historien et Commissaire de la Potsdamer platz, l’Exposition a même fait un Pari avec des Collègues et a perdu. Le Ministère russe de la culture délivré aucune Autorisation pour l’Exportation des œuvres provenant de Musées russes en Allemagne. Le fond était le Refus de l’Historien, de la Russie proposé des Formulations pour les Textes. Il s’agissait principalement pour Staline et la Fin de la Seconde Guerre mondiale en Asie.

Les trois Grands de la Conférence de Potsdam En 1945: Le Premier ministre britannique, Winston Churchill, le Président AMÉRICAIN Harry S. Truman et le Dirigeant soviétique Joseph Staline (v. l. n. r.)

“Nous avons pu nous sur les Formulations dans les commentaires à l’appui ne sont pas d’accord”, a déclaré Luh dans une Conversation avec la DW. “Il y avait des Choses incompréhensibles étaient. Par exemple, la Seconde Guerre mondiale en Asie, par l’Entrée de la glorieuse Armée soviétique à la Fin – et non par l’ (américains) de bombes Atomiques. On peut le voir comme ça, mais pas tout à fait à la Réalité. “

Les Organisateurs ont fait de la Russie un certain Nombre de “Suggestions” se, raconte Luh. Si la Côté allemand, ce n’est pas prendre en compte, disait-il à partir de la russie le Ministère de la culture, on n’est pas à exclure que les Pièces mais ne pas être Disponible, en dépit d’un signé le Traité. Les allemands, commissaire d’expositions, de garder vos Textes “absolument neutre et correct” et ont refusé de la fédération des Suggestions. Moscou a réagi avec Interdiction d’exporter.

La russie parle de Torsion de Faits historiques

Quelques Jours avant le 75. Anniversaire de la Conférence de Potsdam s’est exprimé l’ancien Ministre de la culture russe et Conseiller du Président, Vladimir Medinski, à la controverse sur l’Exposition. “Dans le Fond, il s’agissait d’une Torsion directe des Faits historiques”, il a affirmé lors d’une Manifestation à Moscou, à l’occasion de l’Anniversaire.

Personnalités historiques – une des Salles d’exposition dans le Château de Cecilienhof

“Paratextes nos Pièces ont une Image de la fédération de Page. C’est quelque chose que l’on usés, mais de prendre au Mot “Falsification” de l’Histoire décrit.” Dans ce Contexte, auraient russe conservateurs de musées, il considérés comme diffamatoires, des Expositions d’être envoyés en Allemagne, de sorte que le conseiller de la présidence selon “Rossiyskaya Gazeta”.

Les Regierungszeitung “Rossiyskaya Gazeta”, citant également Stanislav Davydov, un Représentant du Musée de Moscou de la Victoire. Selon Davydov vais Staline dans la Version allemande de l’Mediaguides de l’Exposition comme “Souverain”, et “le Pouvoir avec l’Aide de la Police secrète à s’imposer”. “Nous avons demandé, ce qui avec le “Despotisme” et “services secrets”, dans l’Urss n’y avait jamais eu, en comprendre la signification. On nous a répondu poliment et pourtant, brusquement, que vous ne pouvez pas modifier”, de sorte Davydov. Comme “controversé” désigne la partie russe de l’Étendue de la Violence de l’Armée Rouge à l’égard de la Population allemande, et le Rapport entre la Pologne et l’Allemagne en 1939.

Miroir de la fédération de Geschichtspolitik

Historien et Commissaire de Jürgen Luh

Les Arguments de la partie russe, de rappeler à l’actuelle Geschichtspolitik en Russie de Staline et de la Victoire soviétique dans la Seconde Guerre mondiale, jouent un Rôle central. Qui Sowjetführer critique, avec le risque, comme Geschichtsfälscher de marque de l’être. Audioguide de l’Exposition, à un moment donné du culte de la personnalité de Staline mentionné. La russie n’ai pas aimé, Jürgen Luh.

L’Historien regrette la Décision de Moscou, lors de l’Exposition sur la Conférence de Potsdam de ne pas participer: “la Russie est un grand Pays, une grande Contribution à la Chute du Nazisme a fait, on peut en être fier.” Rien de tout cela serai remis en question. Selon Luh l’ai fait avec les Musées russes pas eu de Problèmes. Pour Ausfuhrstopp ai le Souci du ministère de la culture à Moscou conduit. Il est à vous en tant qu’Historien, libre à interpréter. “Ni le Gouvernement, ni les américains, ni les britanniques, ni les russes peuvent nous dire comment nous pouvons interpréter cela”, dit Luh.