Les forêts, en absorbant le dioxyde de carbone de l’atmosphère pour le processus de la photosynthèse, agir comme un puits naturel de carbone.
L’ État de la Forêt Rapport (SFR) 2019, tout en montrant une augmentation du stock de carbone piégé dans les Indiens des forêts dans les deux dernières années, montre aussi pourquoi il va être une tâche ardue pour l’Inde à la réunion, l’un de ses obligations internationales sur le changement climatique. En inde, dans le cadre de sa contribution à la lutte mondiale contre le changement climatique, s’est engagé à créer un “supplémentaires de puits de carbone de 2,5 à 3 milliards de tonnes d’équivalent en dioxyde de carbone” d’ici à 2030.
C’est l’une des trois cibles de l’Inde a créé pour lui-même dans son climat plan d’action, appelé à l’échelle Nationale des Cotisations Déterminées, ou Sncd, que chaque pays doit présenter en vertu de l’Accord de Paris 2015. Les deux autres se rapportent à une amélioration de l’intensité des émissions, et une augmentation dans le déploiement des énergies renouvelables. L’inde a déclaré qu’elle permettrait de réduire l’intensité de ses émissions (émissions par unité de PIB) de 33% à 35% d’ici 2030 par rapport à 2005. Il a également promis de veiller à ce qu’au moins 40% de sa cumulative de la production d’électricité en 2030 serait fait par le biais de l’énergie renouvelable.
Quelle est la relation entre les forêts et le carbone?
Les forêts, en absorbant le dioxyde de carbone de l’atmosphère pour le processus de la photosynthèse, agir comme un puits naturel de carbone. Ensemble, avec les océans, les forêts absorbent près de la moitié de global annuel des émissions de dioxyde de carbone. En effet, le carbone est actuellement stocké dans les forêts dépasse toutes les émissions de carbone dans l’atmosphère depuis le début de l’ère industrielle. Une augmentation de la surface forestière est donc l’un des moyens les plus efficaces de réduire les émissions qui s’accumulent dans l’atmosphère chaque année.
Source: l’État de la Forêt Rapport, 2019; Biennale de Rapport de mise à Jour, 2018
Comment faire la dernière forêt de données traduire en équivalent carbone?
La dernière forêt enquête montre que le stock de carbone dans les forêts de l’Inde (non compris les arbres à l’extérieur des zones de forêts) ont augmenté de 7.08 milliards de tonnes en 2017, lorsque le dernier exercice a été fait, de 7.124 milliards de tonnes maintenant. Cela se traduit par 26.14 milliards de tonnes d’équivalent en dioxyde de carbone à partir de maintenant.
Il est estimé que l’Inde est couvert d’arbres en dehors des forêts pourrait contribuer un autre couple de milliards de tonnes d’équivalent en dioxyde de carbone.
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Comment difficile est-il de l’Inde à atteindre son objectif?
Une évaluation par le Forest Survey of India (FSI) de l’année dernière avait prévu que, d’ici 2030, le stock de carbone dans les forêts ainsi que la couverture d’arbres était susceptible d’atteindre 31.87 milliards de tonnes d’équivalent en dioxyde de carbone dans le statu quo. Un supplément de 2,5 à 3 milliards de tonnes de l’évier, car l’Inde a promis de le faire, ce serait prendre la taille de l’évier près de 35 milliards de tonnes d’équivalent en dioxyde de carbone.
Compte tenu du taux de croissance du stock de carbone dans les dernières années, qui est assez raide cible de l’Inde a créé pour lui-même. Dans les deux dernières années, les puits de carbone a augmenté de seulement 0,6%%. Même par rapport à 2005, la taille des puits de carbone a augmenté d’à peine de 7,5%. Pour répondre à ses NDC cible, même avec les plus optimistes, les estimations des stocks de carbone piégé dans les arbres à l’extérieur des zones de forêts, l’évier doit croître d’au moins 15% à 20% au cours de la prochaine période de dix ans.
Alors, quelle est la voie à suivre?
Il existe deux principales décisions prises à cet égard — sélection de l’année de référence, et plus de la contribution du secteur de l’agriculture à l’effet de puits de carbone.
L’année de référence peuvent influer sur le business-as-usual projections pour 2030. BAU projections sont obtenues à l’aide de politiques qui existaient dans l’année de référence. Maintenant, il y a eu beaucoup plus d’efforts ces dernières années pour accroître sa couverture forestière. Ainsi, un 2015 de base conduirait à une hausse de la BAU estimation pour 2030 par rapport à un niveau de référence 2005 lorsque moins d’efforts ont été déployés pour ajouter ou de régénérer les forêts. Le FSI projections réalisé l’année dernière a utilisé un 2015 de référence. Si le niveau de référence 2005 est utilisé, l’Inde, les cibles peuvent être obtenus assez facilement.
L’inde est l’intensité des émissions de cible utilise un niveau de référence 2005, donc il y a un argument que la forêt cible doit également avoir la même ligne de base. Mais il y a une forte demande pour un 2015 de référence, ainsi qu’il en résulte dans certains progrès concrets dans l’ajout de nouvelles de la couverture forestière. Lorsque l’Inde a annoncé son NDC en 2015, il n’en fait pas mention de l’année de référence. Il décide, avant qu’il confirme de nouveau son NDC objectifs à venir de la prochaine réunion sur le changement climatique à Glasgow vers la fin de l’année.
À cette époque, l’Inde devrait également préciser si elle veut compter les puits de carbone dans le secteur de l’agriculture en sa cible. Le NDC mentionne spécifiquement que et les “autres” de 2,5 à 3 milliards de tonnes de carbone doivent être créés par les “supplémentaires de la forêt et de l’arbre de couverture d’ici à 2030”, mais le Ministère de l’Environnement responsables insistent pour que la couverture d’arbres à l’extérieur des zones forestières doit inclure l’agriculture ainsi.
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