Cour suprême: Nécessité de faire évoluer les lignes directrices pour arrêter l’utilisation abusive de la loi sur le dai

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La Cour Suprême a déclaré que le grand flux de demandes en vertu de la RTI a été un “grave problème”. (Image Représentative)

La Cour Suprême a déclaré lundi que le Droit à l’Information ne peut pas être incomparable de droit et a déclaré qu’il était nécessaire d’arrêter ses “abus” et “intimidation criminelle” par ceux qui ne sont pas connectés avec les questions soulevées.

“Les gens qui sont en aucune façon lié à un problème de fichier RTI. Il parfois intimidation criminelle, qui est un mot gentil pour le chantage. Nous ne sommes pas contre le droit à l’information. Mais il y a un besoin de lignes directrices. Il ne peut pas être un véritable la droite,” un banc, composée de la juge en Chef S d’Un Bobde et les Juges B R Gavai et Surya Kant, a été cité comme disant par l’ITFL.

La cour d’apex a fait les remarques tout en entendant un moyen de combler des postes vacants de commissaires à l’information (ICs) dans le centre de l’Information de la Commission (CIC) et de l’État Commissions d’Information (Csi).

L’appel de l’énorme afflux de demandes de RTI un “problème sérieux”, le banc dit bien qu’il n’était pas opposé à la loi sur la transparence, il y a une nécessité de faire évoluer un mécanisme pour s’assurer que seuls touchés ou concernés personne de prendre le recours à la législation.

“Nous ne sommes pas contre la Loi sur le dai mais nous pensons qu’il est nécessaire de faire évoluer une sorte de lignes directrices pour régler ce,” le banc dit.

Tout en partageant son expérience personnelle en tant que juge de la de Bombay de la Haute Cour, la CIJ a dit qu’un fonctionnaire, une fois lui a dit que le fonctionnement dans l’état du Maharashtra mantralaya (ministères) a été paralysé” en raison de requêtes en vertu de la RTI.

Avocat Prashant Bhushan, apparaissant pour la militante Anjali Bhardwaj, tout en se référant à divers apex arrêts de la cour, a déclaré que le public a un droit fondamental à connaître et à un chercheur d’informations n’a pas besoin d’avoir un lieu ou un intérêt personnel dans la recherche de renseignements en vertu de la RTI.

En citant des exemples de électoraux concept des obligations et de la passation d’un contrat avec le gouvernement, Bhushan dit sans lien les personnes peuvent avoir recours à la RTI dans la recherche d’information dans de tels cas, aucun parti politique ne voudrais examen et en dernier, un perdant dans le processus d’appel d’offres aura la peur de se faire blacklisté.

La peur de l’action de ceux qui sont au pouvoir empêche de nombreuses personnes connectées à partir de moyens de dépôt en vertu de la RTI, at-il ajouté.

“Il y a des gens qui mettent sur leur papier à en-tête ‘OIR Consultant “…ils appellent eux-mêmes “RTI Militants”. Est-ce un métier. Il y a peut être une hache à moudre, derrière les demandes de RTI. Nous voulons trouver un moyen d’arrêter l’abus de la RTI, la Loi,” le banc a été cité comme disant par l’ITFL.

“Laisser quelqu’un dans l’entreprise ce faire. On peut comprendre si une personne rattachée à déposer une demande en vertu de la RTI. Il ne peut pas être (le cas) toute personne la recherche de quoi que ce soit..,” il a ajouté.

“Il y a une sorte de filtre ainsi que des lignes directrices …,” le banc dit, ajoutant que de telles questions ont été soulevées dans d’autres moyens et a demandé Bhushan pour l’aider quand le cas pour l’audience.

Le plus haut tribunal a également dirigé le Centre et les différents gouvernements de l’état de nommer ICs dans le CIC et Csi dans un délai de trois mois et leur a également demandé de mettre en place sur le site les noms des membres du comité de recherche, destinés pour la sélection et la nomination de la Centrale d’Information de la Commission les commissaires à l’information.

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