L’inde voix inquiétude quant à la politisation des droits de l’homme comme instrument de la politique étrangère

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Tanmaya Lal décrit le terrorisme comme l’un des pires formes de violation des droits de l’homme. (ANI Photo/Fichier)

Exprimant le regret que le travail du Conseil des Droits Humains est de plus en plus controversée et difficile, l’Inde a exprimé son inquiétude sur les instances de politisation des droits de l’homme comme instrument de la politique étrangère.

Tanmaya Lal, l’Inde, le Représentant Permanent Adjoint de l’ONU, l’Ambassadeur, dit même que le Conseil des Droits Humains a été de prendre un certain nombre de résolutions et de décisions, la tenue de réunions fréquemment, et se concentrer plus sur les sessions spéciales, l’efficacité de son travail, cependant, n’est pas toujours claire.

“Tout un ensemble très complet de cadre normatif des droits de l’homme des traités et des Alliances a évolué…, les Droits de l’Homme, du Conseil et de ses procédures et de ses mandats est, malheureusement, de plus controversée et difficile??,” Lal a déclaré lors de la session de l’Assemblée Générale sur le Rapport de l’Homme au Conseil des Droits de vendredi.

Selon lui, l’inefficacité de la gouvernance mondiale est l’arrêt de pays de se réunir pour n’importe quel but commun, qui ont permis d’éviter toute chance de trouver souvent des solutions acceptables.

“Les raisons pour beaucoup de difficultés entourant les discussions sur l’agenda des droits humains ne sont pas difficiles à trouver. Ils découlent de la souvent très divergentes des priorités et des préoccupations des états membres en fonction de leurs niveaux de développement, les contextes sociaux et culturels et les systèmes de gouvernance,” Lal dit.

Alors même que le discours mondial sur les droits de l’homme continue d’évoluer, les capacités de socialement et culturellement varié des nations unies pour mettre en œuvre certains droits sont souvent limités, dit-il, ajoutant que les instances de la politisation des droits de l’homme et le degré d’intrusion trop demeurent des sujets de préoccupation.

En juin de cette année, l’Inde a rejeté un rapport sur le Cachemire, puis des Droits de l’Homme Haut-Commissaire Zeid Ra’ad Al Hussein. Hussein, dans le rapport, avait appelé à un organisme international indépendant d’enquête sur la situation des droits humains dans le Cachemire. Lal a dit que le “soi-disant” rapport reflète la “claire biais d’un fonctionnaire qui avait agi sans un quelconque mandat et s’appuyait sur des sources non vérifiées de l’information.”

Lal a également décrit le terrorisme comme l’un des pires formes de violation des droits de l’homme. Dans une référence à peine voilée au Pakistan, il dit que l’Inde a dû faire face répétée d’attaques terroristes sur des personnes innocentes, émanant de l’au-delà de ses frontières. Il a ajouté que, malgré le terrorisme être accepté comme l’un des plus haut des défis mondiaux, toute réponse collective mis en avant pour lutter contre cette menace continue d’être freinée par certains.

“Pour la réussite de notre collectif et de la cause commune ou de la promotion et de la protection des droits de l’homme, nous mettons l’accent sur les Droits de l’Homme du Conseil et des organes Conventionnels et des Procédures Spéciales et le haut-commissariat devrait pas être de la confrontation, mais plutôt se concentrer sur l’obtention de résultats à partir d’un plus inclusive, participative et positive de l’approche par le dialogue et le renforcement de la capacité??,” at-il dit.

Avec des contributions de l’ITFL

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