L’afrique demande des Nations Unies de demander au tribunal de l’opinion sur l’immunité pour les chefs

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Dans une lettre diffusée mercredi, Amayo demandé au Secrétaire Général Antonio Guterres, à la demande de l’Assemblée Générale de mettre l’Afrique de demander un avis consultatif sur l’immunité à l’ordre du jour de sa prochaine session débutant en septembre. (Photo d’archives)

Le Kenya est en demandant à l’Organisation des Nations unies au nom des états de l’Afrique de demander un avis consultatif de la Cour Internationale de Justice sur l’immunité des chefs d’état et de gouvernement et autres hauts fonctionnaires. La demande du Kenya, de l’ONU, l’ambassadeur, Lazare Ombai Amayo, suite à la décision prise par l’Union Africaine en janvier à solliciter un avis de la cour, l’U. N. du plus haut organe judiciaire qui traite des litiges entre les états.

Certains pays Africains ont été très critiques de la Cour Pénale Internationale de poursuivre les dirigeants du continent, y compris le Président Omar al-Bashir du Soudan et le Président Uhuru Kenyatta du Kenya.

Dans une lettre diffusée mercredi, Amayo demandé au Secrétaire Général Antonio Guterres, à la demande de l’Assemblée Générale de mettre l’Afrique de demander un avis consultatif sur l’immunité à l’ordre du jour de sa prochaine session débutant en septembre. Un renvoi à la Cour Internationale de Justice doit être faite par un U. N. corps comme les 193 membres de l’Assemblée Générale.

Un “exposé des motifs”, qui est joint à Amayo la lettre précise que “ces dernières années, la question des immunités est devenu l’un des problèmes les plus urgents du droit international.”

Dans le cas d’une saisine de la CPI, dit-il, de l’Assemblée Générale des membres sont confrontés à des “obligations concurrentes” de l’U. N. Charte, le Statut de Rome qui a établi la CPI, le droit coutumier“, ou même interne la législation concernant les immunités des chefs d’etat, de membre d’un gouvernement ou d’un parlement, de représentant élu ou d’un fonctionnaire du gouvernement.”

Le protocole dit U. N. états membres “plus de bénéficier d’une Assemblée Générale de demander un avis consultatif de la Cour Internationale de Justice qui va apporter de la clarté de l’évidence de l’ambiguïté et de la concurrence obligations en vertu du droit international.”

La cour a demandé l’arrestation de Soudanais el-Béchir depuis 2009 pour avoir de l’orchestration des atrocités au Darfour, y compris le génocide. Il inculpé Kenyatta, inculpé de crimes contre l’humanité pour 2007 de la violence post-électorale dans laquelle plus de 1 000 Kenyans est mort, mais le cas s’est effondré à cause de ce que le procureur a appelé le manque de coopération du Kenya gouvernement.

Elise Keppler, directeur adjoint de Human Rights Watch sur le programme de justice internationale, a déclaré la demande du Kenya pour un avis consultatif “ne nie pas les demandes en suspens” de la cour pour ses pays membres l’arrestation d’al-Bashir s’il est sur leur territoire.

“La CPI a jugé à plusieurs reprises que ses états membres sont tenus à l’arrestation de ce fugitif de la justice s’il est sur leur territoire, et plusieurs états ont évitées ou réduites telles visites par le rééchelonnement de conférences ou de faire clair, il risque l’arrestation sur leur territoire,” dit-elle.

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