Rohingya de crise: de la Cour Suprême de tenir l’audience finale sur la déportation des réfugiés aujourd’hui

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Les enfants au camp de réfugiés Rohingya dans Kalindi Kunj. (Express photo par Abhinav Saha)

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La Cour Suprême sur le lundi est susceptible de connaître d’une demande relative à l’expulsion de réfugiés Rohingya qui avaient fui la persécution dans le Myanmar, l’année dernière. Un haut banc de la cour, présidée par la juge en Chef de l’Inde (CJI), Dipak Misra, permettra d’entendre l’affaire dans laquelle le Centre a remis en cause les pouvoirs des signataires de la pétition cherchant à bloquer la déportation des réfugiés Rohingya, en disant: la genèse de la PILs menacent de changer le pays à la démographie et à la déstabiliser.

Le mois dernier, un banc composé de Misra et des Juges A M Khanwilkar et D Y Chandrachud avait dirigé le Centre de déposer un rapport complet sur les conditions dans les camps de réfugiés Rohingya dans plusieurs états, en particulier l’Haryana, du Rajasthan et de l’état de Jammu-et-Cachemire. L’ordre est venu après supérieurs avocat Colin Gonsalves soutenu que les conditions dans le camp sont insalubres et “plus sale pour dire le moins”.

Figurant pour le pétitionnaire Zaffar Ullah, Gonsalves, a déclaré le pauvre et le manque d’hygiène a conduit à plusieurs décès de réfugiés vivant dans ces camps. Le juriste a exhorté la cour d’apex pour diriger le Centre et les états de fournir une meilleure hygiène des installations dans ces camps.

Le juriste a exhorté la cour d’apex pour diriger le Centre et les états de fournir une meilleure hygiène des installations dans ces camps. (Express photo par Abhinav Saha)

Plus tôt cette année, le Centre a demandé instamment à la plus haute cour de laisser la question de la sécurisation de la frontière de l’exécutif. Il a également rejeté les accusations que la Force de Sécurité des Frontières personnel à l’aide de “piment et des grenades assourdissantes” détourner les réfugiés Rohingya.

Réponse à la pétition déposée par deux réfugiés Rohingya qui a accusé le BSF de l’utilisation du piment et de grenades assourdissantes pour repousser les réfugiés à la frontière, l’affidavit dit que le BUREAU avait demandé un rapport à partir de la BSF par la suite, et a constaté que les accusations étaient “fausses, incorrectes et loin de la vérité.” Le BUREAU a déclaré, “il est soumis qu’aucun de ces appareils sont utilisés soit comme présumé, ou le contraire.”

En octobre l’année dernière, SC dit que le problème des réfugiés Rohingya a été une “grande ampleur”, et l’état aurait à jouer un “rôle important” tout en traitant de la question litigieuse.

Avec des apports de l’agence

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