Zimbabwe président défie de montage pression de quitter le pouvoir

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Le Président zimbabwéen Robert Mugabe, à droite, serre la main du Général de l’Armée Constantino Chiwenga avant de prononcer son discours lors d’une émission en direct à la State House, à Harare, le dimanche. (AP Photo)

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Le Président du Zimbabwe, Robert Mugabe, a défié les appels à quitter le dimanche, en disant qu’il va présider un parti au congrès de décembre dans une annonce qui pourrait déclencher la procédure de destitution cette semaine et davantage de manifestations exigeant à son éviction. Dans un discours télévisé, le 93 ans, robert Mugabe, a reconnu ce qu’il a dit “un ensemble de préoccupations” de Zimbabwéens sur l’état chaotique du gouvernement et de l’économie, mais il s’arrêta court de ce que beaucoup de gens dans les pays d’Afrique australe ont été en espérant pour une déclaration qu’il était démissionnaire après près de quatre décennies au pouvoir.

Une fois le formidable Mugabe est maintenant pratiquement impuissants, figure isolée, faisant de sa titularisation de tous les plus insolites et l’extension du Zimbabwe vide politique. Il est largement confinée à son domicile privé par les militaires. Le parti au pouvoir a viré de son poste de chef, et d’énormes foules versé dans les rues de Harare, la capitale, samedi, à la demande de ce dernier de quitter le bureau.

Pourtant, le président a demandé aux responsables du projet dans son discours, qu’il a prononcé après une poignée de mains avec les commandants des forces de sécurité, l’un d’eux se pencha sur une couple de fois à l’aide de Mugabe trouver sa place sur la page qu’il lisait.

Le Comité Central de la ZANU-PF, le parti a voté pour rejeter Mugabe à la tête du parti lors d’une réunion plus tôt dimanche et dit les procédures de destitution serait de commencer, si il n’a pas démissionné de son poste le lundi à midi. Mugabe ne fait pas référence à la partie qui va à l’encontre de lui, au lieu de dire qu’il serait de jouer un rôle de premier plan dans un congrès du parti prévu pour Déc. De 12 à 17 ans.

“Le congrès est due en quelques semaines à partir de maintenant,” il A dit. “Je vais présider ses processus, qui ne doit pas être prepossessed par des actes calculé à l’affaiblir ou de compromettre les résultats dans les yeux du public.”

Mugabe a discuté de la possibilité de sa démission à deux reprises avec les commandants militaires après effectivement ils ont pris le pays mardi. Les commandants ont été troublée par son tir de son longue date de l’adjoint et le positionnement des impopulaire première dame de Grace Mugabe, pour lui succéder. Il s’est référé à l’armée des préoccupations au sujet de l’état du Zimbabwe, où l’économie s’est détériorée au milieu des batailles entre factions au sein du parti.

“Quels que soient les avantages et les inconvénients de la façon dont ils sont allés à propos de l’enregistrement de ces préoccupations, je, que le président du Zimbabwe, leur commandant en chef, de faire reconnaître les problèmes qu’ils ont attiré mon attention, et faire croire qu’elles ont été élevées dans l’esprit de l’honnêteté et de profond et patriotique préoccupation pour la stabilité de notre nation et pour le bien-être de notre peuple,” il A dit.

L’adjoint que Mugabe a tiré, ancien Vice-Président Emmerson Mnangagwa, est bien placé pour devenir le Zimbabwe du prochain chef du comité du parti a fait de lui son prête-nom pour prendre le relais de Mugabe, qui a gouverné depuis l’indépendance de la minorité blanche de la règle en 1980.

Les membres du comité se tenait, applaudi et chanté après, robert Mugabe, a été retiré de son poste de chef du parti. Président de la réunion, Obert Mpofu a fait référence à lui comme le “président sortant” et l’a appelé un “triste jour” pour Mugabe, après plusieurs décennies au pouvoir.

“Il a été notre leader pour une longue période, et nous avons tous beaucoup appris de lui,” Mpofu a dit. Mais Mugabe, dit-il, “s’est entouré d’un méchant de la cabale.”

La réunion a remplacé robert Mugabe, en tant que chef de partie avec Mnangagwa et a rappelé la première dame en tant que chef de la ligue des femmes dans les décisions ensemble à être ratifié lors du congrès du parti le mois prochain. Le comité a accusé la première dame de “la prédication de la haine, de la division et en supposant que les rôles et les pouvoirs qui ne sont pas dévolues à l’office.”

Zimbabwe fonctionnaires n’a jamais révélé les détails de Mugabe pourparlers avec l’armée, mais l’armée est apparu à la faveur d’une démission volontaire pour maintenir un semblant de légitimité dans la transition politique. Mugabe, à son tour, a probablement utilisé indépendamment de l’effet de levier qu’il a quitté pour tenter de préserver son héritage ou même de se protéger, lui et sa famille contre d’éventuelles poursuites.

Heures avant, robert Mugabe, a parlé à la télévision, Chris Mutsvangwa, la tête du pays, de la guerre de libération des anciens combattants, a déclaré plus de manifestations pourraient se produire si le président ne fait pas un pas de côté. Il a dit craindre que l’armée pourrait à terme d’ouvrir le feu pour protéger Mugabe contre les manifestants.

“Nous nous attendons à ce que Mugabe n’aurait pas la perspective de l’armée de prise de vue à des gens qui tentaient de défendre,” Mutsvangwa dit. “Le choix qui est le sien.”

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