Roumanie: des Démonstrations de maintenir la pression sur le gouvernement “voleurs”

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Des dizaines de milliers de personnes briller les lumières à partir de téléphones mobiles et des torches lors d’une manifestation devant le bâtiment du gouvernement à Bucarest, en Roumanie. (AP Photo)

Les roumains renforcés pour une sixième journée de manifestations le dimanche, en cherchant à maintenir la pression sur le gouvernement, en dépit de ses climbdown plus controversées de la législation anticorruption, qui a suscité les plus grandes manifestations depuis 1989. Samedi en fin, le gouvernement a promis d’abroger un décret largement considérée comme l’assouplissement des sanctions pour corruption qui a suscité des jours d’intenses protestations, en disant qu’elle serait répondre à le faire aujourd’hui. Mais les manifestants n’étaient pas convaincus. “Aujourd’hui, nous allons battre des records de nouveau,” Florian, 40 ans, a dit à l’AFP à Bucarest, en disant qu’il n’avait pas confiance au gouvernement pour rétracter la législation, comme promis. “Nous ne croyons pas que,” l’électricien a dit qu’il a distribué gratuitement des bretzels et du thé à la Place de la Victoire, l’épicentre de cette semaine de manifestations.

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Par dimanche midi, plusieurs centaines de personnes pourraient être rassemblés sur la place, mais la foule était prévu à la houle avec des milliers d’arriver sur les bus en provenance de l’extérieur de la capitale. Samedi, on estime que 330 000 personnes ont manifesté à travers le pays, des reportages télévisés dit, dans ce qui était le plus grand taux de participation depuis le renversement du dictateur Nicolae Ceausescu en 1989.

Les manifestants, essentiellement des jeunes, ont scandé, brandi des bannières, soufflé à la vuvuzela cornes dans les couleurs nationales et défilé effigies des fonctionnaires du gouvernement en noir et blanc de la prison des uniformes. Les critiques disent que le gouvernement d’urgence décret publié mardi dernier, représente un repli sur la corruption, la durée du fléau de cette ex-pays communiste.

Le gouvernement a dit qu’il permettrait d’harmoniser le code pénal, avec la constitution, mais les manifestants l’ont vu comme une effrontément transparent tenter par le parti Social-Démocrate (PSD), pour laisser beaucoup de ses propres fonctionnaires et les législateurs. En outre, le gouvernement, en poste depuis à peine un mois, veut libérer les quelque 2 500 prisonniers purgeant des peines de moins de cinq ans, soi-disant pour réduire la surpopulation dans les prisons.

Au cours des dernières années, la Roumanie, membre de l’Union Européenne depuis 2007, a gagné les éloges des progrès considérables lutte contre le greffon, mais, mardi, le décret a suscité un concert d’alarme de Washington et de Bruxelles. Hier soir, alors que la foule se dilate, le Premier Ministre Sorin Grindeanu finalement annoncé le climbdown, disant que le gouvernement serait de répondre aujourd’hui à abroger le décret.

“Je ne veux pas diviser la Roumanie,” un pâle et le regard fatigué Grindeanu a déclaré dans un discours télévisé, déclenchant les acclamations et les célébrations de la fin dans la nuit de manifestants à l’extérieur. Mais il a dit que le gouvernement devait mettre sa législation en conformité avec la constitution, le claquement de ce qu’il appelle une campagne de désinformation et de “distorsion”.

Raluca, une démonstration dans son 30s, a dit qu’elle était ravie, mais que le gouvernement était encore de ne pas être digne de confiance.