Canada: des Centaines de mars à Québec, en hommage à la mosquée de prise de vue des victimes

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Les gens placez les bougies lors d’une veillée dans la Ville de Québec, lundi, Janv. 30, en 2017, pour les victimes de dimanche mortelle de tirer sur une mosquée de la Ville de Québec. (Paul Chiasson/La Presse Canadienne via AP)

Plusieurs centaines de personnes ont bravé la neige et le froid, dans la Ville de Québec à l’honneur les six hommes le tir à la mort une semaine plus tôt, tout en priant dans une mosquée locale. “Non à l’Islamophobie, Oui à la Paix”, “Open your Heart” et “Non au Terrorisme” ont été les messages sur certains des signes et banderoles portées par les manifestants, dont beaucoup de Musulmans. Les victimes étaient deux Algériens, un Tunisien, un Marocain et deux Guinéens, tenant à la main la citoyenneté Canadienne.

Ils avaient assisté à une soirée de prière à la mosquée lorsqu’un homme armé a pris d’assaut et a déclenché un déluge de balles d’un pistolet et d’un fusil semi-automatique. Huit autres hommes ont été blessés — trois restent hospitalisés dans l’un des pires attaques contre la communauté Musulmane d’un pays Occidental. Le suspect, Alexandre Bissonnette, 27 ans, s’est rendu à la police et a été accusé de six meurtres et cinq tentatives de meurtre.

La marche de dimanche a commencé, non loin de la mosquée, à l’Université Laval, où le présumé meurtrier a été un étudiant, avant de procéder à l’assemblée nationale de la province francophone. Dans un élan de solidarité, en doublant les Musulmans et les non-Musulmans marcheurs pour la procession. Mohamed Yangi, président du Centre Culturel Islamique de Québec, où la mosquée est située, a déclaré le mars a fourni l’occasion de montrer une “unifiée” du Québec.

Il a dit qu’il voulait travailler avec les leaders politiques pour les aider à éliminer les messages de haine”. Les politiciens canadiens, dirigé par le Premier Ministre Justin Trudeau, ont dénoncé les mots ou les actes de ceux qui cible les Musulmans. Le vendredi, lors des funérailles des trois victimes, Trudeau a fustigé la radio commentateurs et hommes politiques qui ont attisé les tensions.