Membres de la société civile rallier le soutien militant Bela Bhatia

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Bela Bhatia (Photo D’Archives)

Un groupe de 40 membres de la société civile venait à l’appui de militant Bela Bhatia, qui a été demandé de quitter sa maison en Pandripani village dans le district de Bastar par les villages pour avoir prétendument être un Maoïste sympathisant, et ont demandé à l’etat de Chhattisgarh gouvernement pour s’assurer que ses droits fondamentaux. Dans une déclaration conjointe, les militants, y compris Medha Patkar de Narmada Bachao Andolan, Lok Shakti Abhiyans Prafulla Samantara et Aruna Roy de Mazdoor Kisan Shakti Sangathan a déclaré qu’il était impératif que l’administration du district confirme la règle de droit dans ces domaines.

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“Nous condamnons fermement la loi d’airain de l’intimidation à Bhatia à sa maison dans le village. Clairement, cette attaque vise à faire Bela abandonner son travail sur les droits humains dans la région et de quitter le village,” ils ont dit dans la déclaration. Les militants a affirmé que de nombreux autres journalistes, des avocats et des militants qui ont osé mettre en évidence la question des états excès trop ont été “forcés” de la région.

“Malveillant de la violence et des actes menaçant la vie et la liberté ont été réalisées par un ordre exécutif, avec l’aide active de l’etat sanctionné les milices privées”, dirent-ils, ajoutant que “cette situation a entraîné un ralentissement de la des activités de la société civile et étouffé les voix dissidentes dans ce Naxalite partie touchée de l’etat de Chhattisgarh.”

Il est impératif que l’administration du district défend la primauté du droit dans ces domaines et propose une réparation rapide de tous ceux qui ont fait face à la récente vague d’attaques. “Nous exigeons que le gouvernement de l’état a la responsabilité de garantir les droits fondamentaux de Bhatia à résider dans un lieu de son choix et s’acquitte de ses responsabilités professionnelles, en tant qu’activiste, avocat et universitaire sans peur”, ont-ils ajouté.

Le 23 janvier, Bhatia aurait été demandé de quitter sa maison dans le Pandripani village par les villageois qui avaient organisé une manifestation à l’extérieur, il l’accusant d’être un Maoïste sympathisant. Bhatia a affirmé qu’elle aurait été menacée par un groupe d’hommes qui lui a demandé de quitter immédiatement, faute de quoi ils seront mis la maison en flammes.

Notamment, elle a été parmi les personnes qui avaient accompagné d’une Commission Nationale des Droits Humains de l’équipe de villages de Bijapur plus tôt ce mois-ci il y a à enregistrer les déclarations de présumées victimes de viol. Tôt ce mois-ci, la COMMISSION a envoyé un avis au gouvernement de l’état sur des allégations de viol, les agressions sexuelles et physiques de 16 femmes par l’état du personnel de la police dans Bastar division (en octobre 2015 et janvier 2016), en observant que le gouvernement est “responsable du fait d’autrui”.