Les rebelles syriens à participer à des pourparlers de paix au Kazakhstan

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Un soldat de l’armée Syrienne met un drapeau national Syrien dusring une bataille avec les combattants rebelles à la Ramouseh ligne de front, à l’est d’Alep, en Syrie, lundi, Décembre. 5, 2016. (AP Photo/Hassan Ammar, Fichier)

Syrienne, les groupes rebelles ont décidé de participer à des pourparlers de paix soutenu par la Russie et la Turquie, au Kazakhstan à la presse pour la mise en œuvre d’un cessez-le-feu qu’ils disent a été largement violés par le gouvernement et ses Iranien adossés à des alliés.

La russie, le Président Bachar al-Assad, le plus puissant allié, définir les nouveaux efforts diplomatiques en mouvement après avoir rebelles Syriens ont subi une défaite majeure mois dernier par perdre le contrôle de districts de l’est d’Alep qu’ils occupaient depuis près de quatre ans. Les États-unis, qui a entraîné l’échec des efforts pour lancer des pourparlers de paix l’année dernière, n’a pas été impliqué dans la plus récente de la diplomatie.

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Assad a déjà dit que son gouvernement est prêt à assister à la table des négociations. Après le train de gagner du terrain avec la russie, de l’iran et du soutien militaire, il a l’air plus fort que la guerre. Les rebelles ont pris la décision lors des réunions en cours à Ankara, et travaillent maintenant à la forme d’une délégation qui sera dirigé par Mohammad Alloush, le chef du bureau politique de Jaish al-Islam, un groupe rebelle, Alloush a déclaré à Reuters. Il a dit que les rebelles allaient à Astana pour “neutraliser le criminel rôle” de l’Iran.

Des analystes estiment que les rebelles ont été sous la pression de la Turquie, un de leurs principaux sponsors, à y assister. Plus tôt ce mois-ci, ils ont appelé à l’arrêt de conférences sur leur participation à l’Astana réunion sur ce qu’on a dit de gouvernement des violations de cessez-le-feu négocié par la Russie et la Turquie.

La turquie priorités en Syrie semblent avoir abandonné le renversement d’Assad à la lutte contre les groupes Kurdes et l’Etat Islamique dans les régions du nord de la Syrie près de la frontière. Ses liens avec la Russie ont également été améliorés au cours des derniers mois.

“Les factions de l’ira et la première chose qu’ils vont discuter sera la question du cessez-le-feu et les violations commises par le régime”, a déclaré un officiel de l’Armée Syrienne Libre (FSA), un groupe rebelle qui a refusé d’être identifié parce que les groupes n’avaient pas encore nommer un porte-parole. “Ce sera un test pour les Russes, en tant que garant,” dit-il.

Un deuxième fonctionnaire, Zakaria Malahifji de la Fastaqim groupe rebelle, a déclaré: “La majorité des groupes ont décidé d’y assister. Les Discussions seront sur le cessez-le-feu – les questions humanitaires – les livraisons d’aide, la libération des détenus.”

Les groupes rebelles à rejeter toute discussion de questions politiques plus générales à Astana pourparlers, les rebelles ont indiqué des responsables.

LES COMBATS SE POURSUIVENT

Les pourparlers sont prévus pour Janv. 23 à Astana. Ministre des affaires étrangères turc a déclaré samedi qu’Ankara et Moscou a décidé d’inviter les États-unis pour y assister. Un porte-parole du Kremlin n’a pas confirmé que le lundi. Lundi, le Ministre russe des affaires Étrangères, Sergueï Lavrov, a discuté des préparatifs pour les négociations avec son homologue turc Mevlut Cavusoglu, et homologue Iranien Mohammad Javad Zarif.

Comme l’an dernier, les pourparlers de paix, de puissants groupes Kurdes qui contrôlent de vastes zones du nord de la Syrie sont exclus des discussions en ligne avec les souhaits de la Turquie.

Les combats ont continué, malgré le cessez-le-feu, notamment près de Damas, où les forces gouvernementales appuyées par le Hezbollah libanais tentent de retrouver un rebelle-lieu de la zone où la capitale de l’approvisionnement en eau a été bombardé de service. Séparément, l’Etat Islamique, exclu des deux trêve et de pourparlers, a lancé son plus féroce agression dans un an contre un gouvernement assiégé enclave dans la ville de Deir al-Zor.

Les groupes rebelles qui vont assister aux pourparlers inclure FSA factions de combat dans le nord de la Syrie, certains d’entre eux les groupes vaincu dans la ville d’Alep. Alloush de la faction, Jaish al-Islam, est l’un des plus grands groupes rebelles, avec une forte présence dans les rebelles Orientale de la région de Ghouta, près de Damas.

La délégation sera différent de celui qui est envoyé pour des pourparlers de paix à Genève l’année dernière par le principal parti d’opposition, le conseil, l’arabie Saoudite adossés à des Haut Comité de Négociations. La CTC, qui comprend des politiques et des groupes d’opposition armés, a représenté l’opposition dans les pourparlers de paix de l’an dernier.

Alloush se trouve sur la CTC, qui a déclaré samedi qu’il avait appuyé les efforts visant à les pourparlers au Kazakhstan, et vu la réunion en tant qu’étape préliminaire pour la reprise de la prochaine ronde de négociations politiques à Genève.

Malahifji dit la nouvelle délégation serait formé en coordination avec la CTC, mais il serait diffèrent parce que “les Russes se concentrent beaucoup sur les factions militaires”.

Assad a déclaré la semaine dernière que son gouvernement était prêt à négocier sur “tout” au Kazakhstan, y compris sa propre position dans la constitution Syrienne.