La Corée du sud présidentielle de l’office refuse l’accès à des enquêteurs

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Les manifestants crient au cours d’un rassemblement d’appel pour le Président Sud-coréen Parc Geun-hye à l’étape vers le bas à Séoul, en Corée du Sud. (AP Photo)

Sud-coréen parlementaire enquêteurs à la recherche dans un trafic d’influence scandale qui a conduit à la Présidente Park Geun-hye de destitution ne sera pas obtenir l’accès à sa résidence officielle, une Maison Bleue fonctionnaire a déclaré, vendredi, invoquant la sécurité nationale. Plus tard, le vendredi, la Maison Bleue est due à soumettre à la Cour Constitutionnelle du pays, le président de la réponse à la dernière semaine du vote de destitution du parlement, où la cour a jusqu’à 180 jours pour décider de confirmer ou d’infirmer.

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“Ils ne peuvent pas venir à l’intérieur,” une Maison Bleue officielle a déclaré aux journalistes, la baisse de l’identifier.

“Nous n’avons pas changé notre position sur ce point. Nous sommes en pourparlers sur l’endroit où se rencontrer, et de quoi faire, si le parlement de la commission spéciale veut garder une inspection.” Bien que dépouillée de ses pouvoirs présidentiels, maintenant, être exercé par le premier ministre jusqu’à la décision de la cour, Parc conserve son titre et sa résidence officielle.

La fonction présidentielle a affirmé que la Maison Bleue ne peut pas être inspecté, en raison de préoccupations de sécurité nationale. Le parc est accusé de collusion avec l’ami de longue date de Choi Bientôt sil, qui a été inculpé et est en garde à vue, à la pression des grandes entreprises à faire des dons à but non lucratif, les fondations de la sauvegarde des initiatives présidentielles.

Le Bleu de l’officiel de la Maison a également nié les allégations qu’il avait ordonné de la Corée du Sud agence de renseignement d’espionner les juges, y compris le juge en chef de la Cour Suprême. “La Maison Bleue n’a jamais espionné sur tout le monde et c’est quelque chose qui ne devrait pas arriver,” dit-il des allégations faites par un ancien de la direction des médias lors d’une intervention à la télévision parlementaire audience jeudi.

Vendredi, Lee Kyu-chul, un porte-parole du procureur spécial dans l’affaire qui pourrait rendre le Parc de la Corée du Sud d’abord démocratiquement élu chef à coups de pied hors du bureau, a déclaré à des journalistes à l’équipe de continuer à chercher les motifs juridiques permettant d’entrer dans la Maison Bleue.
Le parc dispose de l’immunité présidentielle, tandis que dans le bureau, mais les risques face à des poursuites lors de son départ. Elle a refusé nombreux appels à démissionner immédiatement, malgré les énormes manifestations hebdomadaires et le parlement écrasante du vote de destitution.