Alep sera une victoire pour nous, mais ne signifie pas la fin de la guerre en Syrie: Bachar al-Assad

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FICHIER – En ce mercredi, Sept. 21, 2016 photo publiée par le Syrien de la Présidence, le Président Syrien Bachar al-Assad parle à La Presse au palais présidentiel à Damas, en Syrie. L’egypte subtile de soutien à Assad et des liens étroits avec la Russie, par exemple, met le plus peuplé de la nation Arabe en contradiction avec les Saoudiens, l’appui de l’oms contre le gouvernement Islamiste groupes rebelles en Syrie et en voit pas d’alternative à Assad de départ. (De la Présidence syrienne via AP, Fichier)

Le président Bachar al-Assad a dit que la victoire de ses troupes dans la ville d’Alep serait un “grand pas” dans la fin de la Syrie de la guerre, les troupes gouvernementales se sont battus aujourd’hui, pour reprendre les plus rebelles au sol. En dépit de la demande de plus en plus acculé opposition ighters, les pays Occidentaux et de l’ONU, m. Assad a également rejeté parler d’un cessez-le-feu à Alep. Répété efforts diplomatiques de cette semaine pour mettre fin aux affrontements n’ont pas abouti, le Secrétaire d’État AMÉRICAIN John Kerry et homologue russe, Sergueï Lavrov, à défaut de faire une percée dans leurs derniers entretiens. Dans une large interview avec le quotidien Syrien Al-Watan, al-Assad était sûr de la victoire mais il a admis avoir à reprendre la ville ne serait pas la fin le conflit que le pays entièrement.

“Il est vrai que d’Alep sera une victoire pour nous,” Assad a dit. “Soyons réalistes, ça ne veut pas dire la fin de la guerre en Syrie,” Assad a dit. “Mais ce sera un grand pas vers cette fin.” Les forces du régime ont repris environ 80% de l’ancien territoire rebelle à Alep depuis le lancement d’une offensive de trois semaines pour récupérer la deuxième ville de Syrie.

Après un hautement symbolique de la retraite de la Vieille Ville d’Alep, les rebelles ont appelé hier pour cinq jours de cessez-le-feu pour permettre l’évacuation de milliers de civils encore dans l’opposition territoire. Mais Assad a déclaré une trêve est possible seulement après un retrait des rebelles d’Alep, et les combattants de l’opposition ont rejeté toute idée de l’abandon de la ville.

Interrogé sur la possibilité d’une trêve, Assad a dit: “Il est pratiquement inexistante, bien sûr”. Les forces gouvernementales, appuyées par des combattants étrangers en provenance d’Iran et du Liban mouvement Chiite Hezbollah, continuaient à avancer, l’Observatoire Syrien pour les Droits de l’Homme a dit. Basée en grande-Bretagne groupe de surveillance a dit il y avait des tirs de roquettes sur plusieurs rebelles, les districts et les combats dans la Salaheddin et de Bustan al-Qasr quartiers. L’agression a provoqué un exode massif des habitants, avec l’Observatoire de dire à moins de 80 000 ont fui leurs maisons.

Les troupes syriennes et les groupes d’aide ont été d’aider à évacuer les résidents nouvellement repris les régions de l’est d’Alep, où les civils ont vécu pendant des mois dans des bombardements et d’un régime de siège. Le Comité International de la Croix-Rouge, a déclaré aujourd’hui, il a mené une opération de nuit avec la Syrie du Croissant-Rouge à évacuer 150 civils, dont de nombreux handicapés ou malades, à partir d’un établissement de santé dans la Vieille Ville.

“Ces patients et des civils ont été pris au piège dans la zone de jours en raison de violents affrontements à proximité et que la ligne de front gardé le dessin de plus près,” dit CICR en Syrie chef de la délégation Marianne Gasser. “Beaucoup d’entre eux ne peuvent pas se déplacer et avoir besoin d’une attention et de soins. Il doit avoir été terrifiant pour eux,” dit-elle. Il n’était pas clair combien de civils sont restés dans rebelle-le territoire, mais il y avait quelque 250 000 dans l’est d’Alep avant la dernière offensive.