Question et Réponse: la Citoyenneté de l’amendement de la loi expliquée

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La citoyenneté de l’amendement de la loi manifestations: Lors d’une manifestation à Guwahati, le jeudi 12 décembre 2019. (AP Photo: Anupam Nath)

Le projet d’Amendement de la Citoyenneté (ACR) est entrée en vigueur après la réception du Président de la sanction , jeudi, à la suite d’une ecchymose débat au Parlement. Assam a été en proie à des violences depuis mercredi, lors de la Rajya Sabha, a pris le projet de Loi après qu’il a été adopté dans la Lok Sabha, avec son capital en vertu de indéfinie de couvre-feu, et l’Armée et les paramilitaires colonnes à rouler dans plusieurs villes.

Au moins trois de l’Opposition a jugé états — Kerala, du Pendjab et du Bengale —occidental-ont dit qu’ils vont pas mettre en œuvre la nouvelle loi sur la citoyenneté, et legal des défis ont été faites à la Cour Suprême.

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Pourquoi est-ce un changement dans la loi, qui prétend le gouvernement est sympathique et d’inclusion, appelés anti-constitutionnelle et anti-Musulman, et le déclenchement de la puissance des réactions?

Pourquoi est-Assam, en particulier, de voir de vives protestations?

Dans l’état d’Assam, ce qui est principalement conduite les manifestations n’est pas qui sont exclus du champ d’application de la nouvelle loi, mais combien sont inclus. Les manifestants sont inquiets au sujet de la perspective de l’arrivée des migrants, indépendamment de la religion, dans un état dont la démographie et de la politique ont été définis par la migration. L’Assam Mouvement (1979-85) a été construit autour de la migration en provenance du Bangladesh, qui de nombreux Assamais la peur de conduire à leur culture et la langue ovetaken, en plus de mettre la pression sur les ressources en terres et les possibilités d’emploi.

Les manifestants argument est que la nouvelle loi viole l’ Assam Accord de 1985, qui définit le 24 Mars 1971 la fréquence de coupure pour les Indiens de la citoyenneté. C’est également le cut-off pour le Registre National des Citoyens (CNRC) dans l’état d’Assam, dont la version finale a été publiée cette année. En vertu de la nouvelle loi, la limite est le 31 décembre 2014, pour les Hindous, Chrétiens, Sikhs, des Parsis, des Bouddhistes et Jaïns, du Pakistan, du Bangladesh et de l’Afghanistan. Il a soulevé la controverse en grande partie parce qu’il exclut les Musulmans.

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En vertu de la loi antérieure, comment ces catégories de personnes s’appliquent pour les Indiens de la citoyenneté?

En vertu de l’Article 6 de la Constitution, les migrants en provenance du Pakistan (dont une partie est aujourd’hui Bangladesh) est d’obtenir la citoyenneté si elle est entrée en Inde avant le 19 juillet 1948. Dans l’état d’Assam, qui a vu les grandes migrations de l’Est du Pakistan (plus tard, Bangladesh), un migrant va obtenir la citoyenneté si elle est entrée dans l’état d’avant 1971 date mentionnée dans l’Assam Accord.

Aussi loin que les immigrants illégaux sont concernés, l’Inde ne dispose pas d’une politique nationale sur l’octroi de l’asile ou le statut de réfugié. Le Domicile du Ministère, cependant, a une procédure d’exploitation standard pour le traitement avec les ressortissants étrangers qui prétendent être des réfugiés. Le gouvernement les a traités avec les réfugiés au cas par cas, soit par leur accordant un permis de travail ou de visas de longue durée. De manière significative, il n’y a aucune disposition dans la Loi sur la Citoyenneté de l’octroi de la citoyenneté en particulier à des minorités ou à des réfugiés jusqu’à la dernière modification.

Quelles sont les lois sur la citoyenneté pour les autres?

En vertu de la Loi sur La Citoyenneté, en 1955, il existe quatre façons d’obtenir la citoyenneté.

La nationalité par la naissance: En 1955, la loi a prévu que toute personne née dans l’Inde sur le ou après le 1er janvier 1950 serait considéré comme un citoyen de naissance. Ce fut ensuite modifié pour limiter la citoyenneté par la naissance pour les personnes nées entre le 1er janvier 1950 et le 1 ” janvier 1987.

Il a de nouveau été modifiée par la loi modifiant la Loi sur la Citoyenneté, 2003; ceux qui sont nés après le 3 décembre 2004 sera considéré comme un citoyen de l’Inde par la naissance si l’un des parents est un Indien et l’autre n’est pas un immigrant illégal. Donc, si l’un des parents est un immigrant illégal, l’enfant né après 2004 devront acquérir des Indiens de la citoyenneté à travers d’autres moyens, non pas simplement par la naissance. La loi décrit un immigrant illégal comme un étranger qui: (i) entre dans le pays sans documents de voyage valides, comme un passeport et un visa, ou (ii) entre avec des documents valides, mais reste au-delà de la période autorisée.

La citoyenneté par filiation: Une personne née en dehors de l’Inde et qui a au moins un Indien des parents sera accordé la citoyenneté à condition que la naissance est enregistrée dans un délai de 1 an avec le consulat Indien dans la juridiction.

La citoyenneté par l’enregistrement: C’est pour les personnes qui sont liées à un citoyen de l’inde à travers le mariage ou l’ascendance.

La citoyenneté par naturalisation: l’Article 6 de la Loi sur la Citoyenneté et les états d’un certificat de naturalisation peut être accordée à une personne qui n’est pas un immigrant illégal et a résidé en Inde en continu pendant 12 mois avant de faire une demande. En outre, dans le de 14 ans avant la période de 12 mois, la personne doit avoir vécu en inde depuis au moins 11 ans (détendu à cinq ans pour les catégories couvertes en vertu de la nouvelle modification).

Renonciation: Si, dans l’opinion du gouvernement central, le demandeur a rendu des services éminents à la cause de la science, la philosophie, l’art, la littérature, la paix dans le monde ou le progrès de l’homme en général, il peut renoncer à tout ou partie des conditions de la Loi. C’est de cette façon que le Dalaï-Lama ou de Adnan Sami, le chanteur Pakistanais, ont obtenu la citoyenneté Indienne.

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Une femme crie des slogans lors d’une manifestation contre le projet d’Amendement de la Citoyenneté, à Guwahati, Assam. REUTERS/Anuwar Hazarika

Combien de personnes pourraient maintenant être donné des Indiens de la citoyenneté en vertu de la nouvelle loi?

Le Ministre de l’intérieur Amit Shah visée à l’amendement que le fait de porter secours à “lakhs et crores de non-réfugiés Musulmans du Pakistan, du Bangladesh et de l’Afghanistan”. Au 31 décembre 2014, le gouvernement avait identifié 2,89,394 “apatrides dans l’Inde”, selon les données présentées au Parlement par le Ministère en 2016. La majorité sont en provenance du Bangladesh (1,03,817) et Sri Lanka (1,02,467), suivi par le Tibet (58,155), le Myanmar (12,434), le Pakistan (8,799) et en Afghanistan (3,469). Les chiffres sont pour les apatrides de toutes les religions.

Pour ceux qui sont venus après le 31 décembre 2014, la route ordinaire de chercher refuge dans l’Inde va s’appliquer. S’ils sont considérés comme des immigrants illégaux, ils ne peuvent pas demander la nationalité par naturalisation, indépendamment de fo de la religion.

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Sont les collectivités mentionnées en effet persécutés dans ces trois pays?

Dans le Rajya Sabha, le Ministre de l’intérieur reposait sur les rapports des nouvelles comme des preuves de la persécution religieuse contre les Hindous au Pakistan, allant de la conversion forcée à la démolition des temples. Des exemples notables ont été Asia Bibi, une Chrétienne Pakistanaise condamnée pour blasphème, qui a passé huit ans sur le couloir de la mort avant d’être acquitté par le Pakistan de la Cour Suprême.

Au Bangladesh, les cas d’homicides d’athées par des militants islamistes sont bien documentés. Alors que le Shah a prétendu que la persécution sévit depuis la mort de Sheikh Mujibur Rehman, du Bangladesh actuel Ministre des Affaires Étrangères A K Abdul Momen a nié toute persécution religieuse.

Bien que Shah visées aux religions non Musulmanes comme persécuté les minorités, la loi permet d’éviter d’utiliser le mot persécution dans son texte.

Manifestant de mettre le feu à des panneaux d’affichage lors de leur marche à l’encontre de la Citoyenneté de l’amendement de la loi de Guwahati. (PTI Photo)

Qu’est-ce exactement est discutable sur le droit, légalement et constitutionnellement?

Des experts juridiques et des dirigeants de l’Opposition ont fait valoir qu’il viole la lettre et l’esprit de la Constitution. Un argument faite au Parlement, c’est que la loi viole l’Article 14, qui garantit l’égale protection des lois. Selon le critère juridique prescrit par les tribunaux, pour une loi de satisfaire les conditions de l’Article 14, il doit d’abord créer un “raisonnable classe” de sujets qu’il cherche à gouverner en vertu de la loi.

Deuxièmement, la législation doit faire preuve d’une “rationnel lien” entre le sujet et l’objet qu’il cherche à atteindre. Même si le classement est raisonnable, toute personne qui tombe dans cette catégorie est pour être traités de la même manière. Si la protection de l’persécutés minorités est apparemment l’objectif de la loi, à l’exclusion de certains pays et l’utilisation de la religion comme point de comparaison pourraient tomber sous le coup de la tester.

En outre, l’octroi de la citoyenneté sur la base de la religion est contre la nature laïque de la Constitution, qui a été reconnu comme partie intégrante de la structure de base qui ne peut pas être modifié par le Parlement.

Shah a soutenu que “persécuté les minorités dans les trois pays voisins, le Pakistan, le Bangladesh et en Afghanistan, dont la religion d’état est l’Islam”, c’est une raisonnable de classification.

Un autre argument est que la loi ne prend pas en compte d’autres catégories de migrants qui peut demander la persécution dans d’autres pays.

Personnes emporter bâtons de bois à partir d’un barrage routier mis en place par les manifestants lors de hier de protestation contre le projet d’Amendement de la Citoyenneté (ACR) de Guwahati, le jeudi 12 décembre 2019. (AP Photo: Anupam Nath)

Qui sont ces autres catégories?

La loi ne s’applique pas à ceux qui sont persécutés au Myanmar (Musulmans Rohingya) et Sri Lanka (Tamouls). Shah a à plusieurs reprises fait des déclarations que pas un seul Musulmane Rohingya, ne sera admis dans l’Inde. De plus, en ne permettant pas les Chiites et les Musulmans Ahmadis qui font face à la persécution au Pakistan, ou l’Hazras, les Tadjiks et les Ouzbeks, qui a fait face à la persécution par les Talibans en Afghanistan, la loi est considérée comme potentiellement violation de l’Article 14. Au Parlement, Shah a soutenu que les Musulmans ne peuvent jamais être persécutés dans les pays musulmans.

La défense de l’exclusion des Chiites et Ahmadiyyas à partir de Pakistan, BJP MP Subramanian Swamy dit un persécutés Chiites irait plutôt à l’Iran de se rendre en Inde.

Sur le Sri Lanka et le Bhoutan, le Shah a insisté pour qu’aucun des deux pays n’a l’Islam en tant que religion de l’etat. D’ailleurs, à la fois le Bhoutan et le Sri Lanka offre constitutionnelle patronage de l’état, la religion, le Bouddhisme.

Ces groupes persécutés?

Le Deuxième Amendement Constitutionnel au Pakistan, a déclaré le Ahmadiyyas “non-Musulmans” et leur pénal, du code pénal pour les Ahmadis pour se désigner en tant que Musulmans, et impose des restrictions sur la communauté, y compris lui refusant le droit de vote.

En 2016, la Commission américaine sur la Liberté Religieuse Internationale a recommandé de déclarer le Pakistan niveau 1 Pays Particulièrement Préoccupants pour les graves violations de la liberté de religion en vertu de la Loi sur la Liberté Religieuse. En août de cette année, les états-unis, le royaume-UNI et du Canada ont exprimé des préoccupations au sujet de l’oppression religieuse, en Chine et au Pakistan lors d’une réunion sur la sécurité des minorités religieuses dans les conflits armés.

Les manifestants affrontement avec le personnel de sécurité à Guwahati, jeudi. (PTI Photo)

Etant donné que la loi exclut que les non-Musulmans Indiens, pourquoi est-il dit qu’il est contre les Musulmans Indiens?

Sur le visage de celui-ci, l’amendement n’est pas à exclure tout citoyen de l’inde. Cependant, le CNR dans l’état d’Assam et de la dernière loi sur la citoyenneté ne peut être dissociée. La finale du CNRC à gauche sur 19 lakh personnes. La nouvelle loi donne une nouvelle chance de le Bengali Hindous gauche afin d’acquérir la citoyenneté, alors que le même avantage ne sera pas disponible à un Musulman de gauche, qui devra combattre une bataille juridique.

Shah et le BJP, les dirigeants ont maintenu que le COR processus dans l’état d’Assam sera reproduit dans le reste du pays, ce qui alimente les craintes des Musulmans Indiens. Branché avec le CNRC, le nouvel amendement devient une loi d’habilitation, potentiellement priver de leurs droits d’une personne d’une religion ne sont pas mentionnés dans l’amendement.

Politiquement, la loi devrait avoir une incidence sur le Bengale de l’Ouest et du Nord-est des états. L’Assam et du Bengale occidental tête pour des sondages en 2021.

Mais si l’échelle de la NRC sur la base des documents, en effet, il arrive, ne sera pas beaucoup d’Hindous également être exclus?

L’Exclusion des Hindous est une possibilité. Toutefois, la loi sur la citoyenneté pouvez bouclier de nombreux Hindous. Shah a déclaré au Parlement qu’aucun document ou de preuve de la persécution sera demandé de minorités non Musulmanes lors de la demande de citoyenneté.

Chef de file du congrès Kapil Sibal, a déclaré dans le Rajya Sabha qu’un Hindou à gauche en sortant de la NRC dans l’Assam, et qui va maintenant s’appliquer en vertu de la nouvelle loi, pourrait effectivement être allongé. Dans le NRC processus, une personne aurait soumis une demande qu’elle est un Indien. Maintenant, tout en appliquant à la citoyenneté, elle aurait à soumettre, qu’elle a fui le Bangladesh, l’Afghanistan ou du Pakistan, où elle fait face à la persécution religieuse.

Toutefois, un exercice comme le COR, qui a coûté environ Rs de 12 000 crore dans l’Assam seul et a pris des années, seront époustouflantes pour l’ensemble de l’Inde en termes d’échelle et de coût. À la différence de l’Assam, où il y avait un large public et les politiques de consensus pour COR, un pan-Inde du CNRC est susceptible d’être contestée par les parties, les gouvernements, les groupes et les individus.

Union Ministre de l’intérieur, Amit Shah tables de la Citoyenneté (Modification), projet de Loi dans le Rajya Sabha. (Screengrab/RSTV)

Shah a déclaré au Parlement que la loi était destinée à corriger les défauts de la Nehru-Liaquat Pacte de 1950. Quel était cet accord?

À la suite de la Partition et de la communal des émeutes qui ont suivi, les premiers Ministres Jawaharlal Nehru et Liaquat Ali Khan a signé un traité, aussi connu comme Delhi Accord, sur la sécurité et les droits des minorités dans leurs pays respectifs. L’inde a des garanties constitutionnelles pour les droits des minorités et le Pakistan avait une disposition similaire dans les Objectifs de la Résolution adoptée par son Assemblée Constituante. Shah allégations de l’Inde a maintenu son fin de l’affaire alors que le Pakistan a échoué, et c’est ce à tort que la nouvelle loi vise à corriger.

Le Kerala, le Bengale de l’Ouest et du Pendjab ont refusé de la mettre en œuvre. Peuvent-ils?

Le non-BJP partis au pouvoir dans ces états sont faire un point politique. La citoyenneté, les étrangers et de la naturalisation sont sujets énumérés dans la Liste 1 de la Septième Annexe et relèvent exclusivement du domaine du Parlement.

La plupart des états du Nord-est, cependant, totalement ou partiellement exemptés en vertu de dispositions spéciales pour les zones tribales, comme la Ligne Intérieure de Permis (Arunachal Pradesh, le Nagaland, Mizoram et maintenant étendu à Manipur) et la Sixième Annexe avec des dispositions spéciales dans pratiquement tous de Meghalaya, et une grande partie de Tripura.

Combien d’Assam est exonéré?

En Assam, dans trois Districts Autonomes sont exemptés de la nouvelle loi reste applicable à la grande région. Cela soulève également la question: peut-il y avoir deux lois sur la citoyenneté applicable dans le même état?

En vertu de l’Alinéa 5.8 de l’Assam Accord, “les Étrangers qui sont venus jusqu’à l’Assam ou après le 25 Mars 1971, doivent continuer à être détecté, supprimés et les mesures concrètes doivent être prises pour expulser les étrangers”.

Quel est l’état d’Assam Accord et comment se fait-il conduire à la CNR?

Il a été signé le 15 août 1985 par les Gouvernements de l’Inde et de l’Assam, et l’Ensemble de l’Assam Union des Étudiants et de l’Ensemble de l’Assam Gana Sangram Parishad à New Delhi. Il est venu à la fin d’un six-année du mouvement de masse, dirigé par des étudiants, contre la migration illégale à partir de l’Est du Pakistan, au Bangladesh.

Le processus d’identification des étrangers a été établie par les Migrants en situation irrégulière (Détermination par les Tribunaux) Loi de 1983, le seul applicable à l’état d’Assam. En 2005, il a été rejeté par la Cour Suprême comme inconstitutionnelle. Le requérant, Sarbananda Sonowal (maintenant Assam Ministre en Chef), a fait valoir que les dispositions étaient si strictes qu’il a pratiquement fait “détection et d’expulsion des migrants illégaux presque impossible”.

Le présent CNRC (une mise à jour de l’existant NRC de 1951) a débuté en 2013. Sur un litige par l’ONG Assam Travaux Publics et demandé la suppression de noms d’immigrants illégaux à partir de la liste électorale, la Cour Suprême s’est appuyée sur deux décisions sur des dossiers déposés par Sonowal, et a justifié son intervention à la mise à jour de la NRC. Le processus a été suivie par la Cour Suprême.

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Le Ministre de l’intérieur a assuré que l’état d’Assam de la culture serait protégé en vertu de l’Alinéa 6 de l’Assam Accord. De quoi ça parle?

Ceci a été ajouté à l’Assam Accord comme un facteur d’équilibre. Alors que la citoyenneté date limite pour les migrants en provenance du Pakistan pour le reste du pays était le 19 juillet 1948 (avant la modification), de l’Assam, il a été fixé au 24 Mars 1971. En raison de l’augmentation de la migration, de l’Alinéa 6 a promis que “des dispositions Constitutionnelles, législatives et administratives, qui peuvent être appropriées doivent être prévues pour protéger, préserver et promouvoir la culture, du social, de l’identité linguistique et du patrimoine de l’Assamais les gens.”

Cette protection est couvert en vertu de l’Article 6A de la Loi sur la Citoyenneté, qui a créé des “dispositions particulières à la citoyenneté des personnes couvertes par l’Assam Accord.” La validité constitutionnelle de l’Article 6A est contestée devant la Cour Suprême.

Il n’a pas encore été défini, qui sera désigné comme le “Assamais les gens”. Une idée répandue est qu’il doit couvrir ceux qui ont pu retracer leur origine dans l’état d’Assam au moins 1951, à l’exclusion des citoyens qui sont venus au cours de 1951-71. Un comité mis en place par le Centre est encore de faire des recommandations sur la forme de dispositions particulières ne prenez — les droits fonciers, les droits politiques, la préservation de la culture.

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