COP25: Pas de progrès significatifs sur les questions clés, les pourparlers à continuer l’année prochaine

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À Madrid, vendredi. Reuters

Incapable de faire des progrès significatifs sur les points principaux de l’ordre des questions telles que la création de nouveaux marchés du carbone, comme cela a été prévu, les discussions sur les questions litigieuses à Madrid négociations climatiques sont configurés pour être reportée à l’année prochaine.

Les pourparlers, prévu à la fin de la soirée de vendredi, ont été définies dans le temps supplémentaire, comme c’est la routine avec ces conférences annuelles, mais les décisions sur les questions principales sont rare. Les projets de textes sur les marchés du carbone qui est apparu vendredi continué d’être fortement entre crochets, chaque support qui représente une différence non résolue. Poursuite de la révision des textes ne devraient pas être sensiblement différente.

Les décisions finales de la Madrid des pourparlers sont susceptibles de répondre à l’une des préoccupations majeures des pays en développement comme l’Inde, en prévoyant un mécanisme pour évaluer la performance des pays développés à respecter leurs pré-2020 engagements. L’inde et d’autres ont été d’appeler les pays développés pour non-respect de leurs pré-2020 et que les blâmant pour le courant de l’insuffisance des efforts mondiaux pour empêcher l’extrême des impacts du changement climatique.

Sur la question des marchés du carbone, la plupart des préoccupations de l’Inde sont reflétées dans le projet de texte actuel. À Madrid, les pays ont essayé de créer des règles pour établir un nouveau marché du carbone, en vertu de l’Accord de Paris pour remplacer celle qui est sous le bientôt-à-expire Protocole de Kyoto de 1997. Les marchés du carbone, de permettre l’achat et la vente des réductions d’émissions, sous la forme de crédits de carbone, entre les pays et les entités privées dont l’objectif général est d’inciter à une réduction plus importante des émissions de gaz à effet de serre. Globalement, un pays capable de réduire les émissions dans l’excès de ses cibles peuvent vendre des réductions supplémentaires à un autre pays.

L’inde, le Brésil et quelques autres ont été vocales en exigeant que leurs invendus des crédits de carbone de Kyoto marchés d’être transféré à la prochaine celles — demande que les pays développés étaient résister. Le projet de texte actuel, peu de chances d’être considérablement modifiée, conserve les options sur le transfert de crédits Kyoto pour le nouveau marché. Tous les détails des marchés du carbone sont proposées pour être décidé au cours de la prochaine année, par un “organisme de contrôle” qui seront mis en place. De manière significative, les projets de textes sur les marchés du carbone ne font aucune mention des “droits de l’homme”.

Certains pays et certaines organisations non gouvernementales avaient été exigeant que les projets dans les pays en développement, pour être admissible à gagner des crédits de carbone et de participer à des marchés de carbone, devraient être invités à s’assurer que leurs activités n’ont aucun impact négatif sur les communautés locales, et ont été en ligne avec les droits de l’homme. Les pays en développement se sont fortement opposés à cette demande au motif que le climat international-cadre avait pas de mécanisme ou de la compétence en matière de droits humains.

La prochaine conférence sur le changement climatique se tiendra à Glasgow l’année prochaine.

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