Mon Europe: Bucarest-Trilogie

0
308

Bucarest à comprendre tombe lui-même de ses Habitants, n’est pas toujours facile. La Ville est tellement idyllique que l’uniforme, avec autant d’élégance que d’expiration. Une Approche en trois Étapes de Catalin Dorian Florescu.

Au cours des deux dernières Années, j’ai deux Mois à Bucarest passé, sur les Traces d’un nouveau Roman. Dans les Décennies auparavant, j’avais pas de véritable Lien avec cette Ville peuvent se connecter, je n’ai pas grandi et je n’ai pas de Souvenirs association. Mais, aujourd’hui, semble-ilpour michganz différente.

Bucarest, pas facile de vous aimer: à Peine se montre d’Élégance et de Raffinement, déjà, on prend du Déclin et de la Négligence vrai. À peine, elle participe à la mode, déjà, il apparaît une slumartige Région. À peine règnent le calme et même Détente, déjà signaler, le Bruit, Gehetztheit et l’Uniformité. N’est pas en vain l’habitude, on est encore dans l’entre-deux-Guerres, à Bucarest, au Pluriel pour parler de: Bucurestii.

Aujourd’hui, c’est d’abord le droit approprié, car il existe une Multitude de Visages de cette Ville. Elle se compose de plusieurs ineinandergeschobenen ou en parallèle existant Mondes. Sans vous associer tout le monde, on peut pas lui répondre.

Comme Bucarest, on pourrait également Roumanie: en tant que multiples et contradictoires, manifestement européen, et pourtant, avec un pied en Orient debout.

Piata Natiunile Unite

Avec la Tête et le Coeur plein d’Impressions, je suis revenu récemment de la Roumanie. Afin de ne pas être dans une Formule, de le comprimer pour le Caractère ouvert de ce Pays correspondent, j’ai une Liste de Souvenirs. Elle constitue, en tant que Totalité subjective de la Mosaïque, un Collage d’Impressions, de compléter liesse. Parce que la Roumanie, Bucarest, est la plus pure Invitation à percevoir, à ressentir, sans jugement hâtif sur les valeurs. Et pourtant, il faut à un moment donné, si les Conditions sont uniques, et malheureusement aussi le faire.

Mes Souvenirs, je tiens à Vous wohldosiert en trois Parties de présenter. Voici la première Partie.

– Au début du printemps, sur le trajet Aller, à Bucarest, j’ai pris à Sibiu (Hermannstadt) avec des Amis à une Veillée partie, depuis des Mois, tous les jours à douze Heures avant le Lokalsitz du parti PSD a lieu. Pour exactement un Quart d’heure, les Participants – entre quelques Dizaines et plusieurs Centaines de silence, le Trafic s’écoule lentement devant eux, les Piétons doivent pour se promener. Certains se joignent spontanément. C’est un grand Silence, et l’on perçoit, qu’on le veuille ou non. Le Mouvement est-à-dire: “Nous vous voyons!”. On entend les Politiciens corrompus et les Entrepreneurs avec lesquels le Pays est abondamment bénis. Le Silence du Peuple, pour une fois, son Sens.

– À Brasov, j’ai rencontré un Jour plus tard, Sonja, la Suisse, Directrice d’un Foyer pour enfants, il y a plus de 25 Ans, a fondé. Elle vient de ce Pays n’est plus loin, à l’est-il de votre Vie à celle des Enfants croisés. Autrefois, dans le Froid et le Brouillard, un Novemberabend dans une Ville et un Pays arrivé, lui aussi indifférent auraient pu rester. Elle a créé quelque chose, ce à quoi peu sont capables: – de protecteur et de persévérance avant vulnérable de sa Vie. Pour des Dizaines d’Enfants et d’Adolescents, elle est une Mère. Elle m’a dit qu’une de ses Collaboratrices à l’Hôpital. Les Collègues se relaient à son chevet, apporter de la Nourriture et de papier de toilette et appliquer si nécessaire. Ainsi, dans l’etat roumain Hôpitaux. Sonja a été la seule Infirmière dans le Service demandé, la Perfusion de surveiller. Les médecins et les Infirmières, les Professionnels de toutes sortes de la randonnée. C’est une Saignée, pour ne détermine pas Dracula est responsable.

Palais du parlement à Bucarest

Comme si un Glacier a reculé aurait donné de l’Hiver, les Abfallteppich sur le Chemin de Brasov, Bucarest-libre. Dans les belles Karpatentälern laisse à l’Homme, la Piste de l’Indifférence. Pendant que je suis sur la Capitale de l’alimentation, a conduit à un interminable Blechkolonne dans le Rythme, dans la Direction opposée. C’étaient de Bucarest, à partir de votre Ville de fuir quand ils le peuvent. Plusieurs fois par An, se vide de Bucarest et se remplit quelques Jours plus tard, comme un Cœur, le Sang prend, et de nouveau herauspumpt. Ces Jours-ci, c’est la Paix de Bucarest, et l’on peut de cette Ville de réconcilier.

– Bucarest, les Blumenkioske jusqu’à Minuit. Pratiquement à chaque Coin de rue est une. Je n’ai jamais été quelqu’un de quelque chose à acheter. Mais peut-être qu’on attend ici, avec les Déclarations d’amour jusqu’à la nuit. Peut-être, la conduite de la de Bucarest et de leurs Morts la nuit au Cimetière. Peut-être essayer de les Gens, leur Ville et leur logement d’abord en profitant de l’Obscurité à l’embellir. Peut-être que se réunissent les habitants de la ville tous les jours à Minuit, à la Blumenkioske pour le Parfum de respirer. Mais peut-être est-il seulement le Désespoir, à tout ce qui de vendre.

– Nuit en tirer les wagons-Citernes par le vide Rues de Bucarest et de nettoyer la Saleté de la Journée. Putztrupps brillants de l’Ouest de la plongée dans la lumière, comme de Rien, et disparaissent de nouveau là-bas. Vous faites une Poubelle sur Roues derrière lui et épaules Balai comme Grossmutterszeiten. C’est comme si cette Ville sous Waschzwang litte pour la perte de sauver le Matin, le Cauchemar est fini. De retour restent Cloaques plein de Mousse. Ici, il semble que quelqu’un dire: “Voyez! Vous êtes important pour moi! Votre Ville est important pour moi! Je vais m’occuper de vous.” Alors que certains Politiciens, le Jour les Mains dans l’Innocence de lave et l’ensemble de Rangées de maisons conscients, à la désintégration de la mise Sisyphe dans la Nuit de son interminable Travail.

La Vieille ville de Bucarest, dans le Centre-ville: Cafés, Restaurants, petits Commerces

– Sur la Terrasse d’une Auberge, toutes les Tables étaient occupées. On as de l’Appétit et la bonne, de la gravité de la Cuisine du Pays. Aussenrum tiré sur un jeune gitane, d’à peine neuf ou dix Ans, de leurs Tours et chantait. Elle a présenté un Veilchenstrauss, à la Main, ils voulaient vendre, mais personne ne prêtait attention. J’ai offert ma soupe de haricots en Croûte de pain – oui, ici, il y a quelque chose que vous avez fini avec elle était un peu devenu plus audacieux, on voyait sur le Dessert à la table voisine. Là, assis en silence, une Famille, elle était après un somptueux Repas avec les Papanasi – immense roumain Beignets – occupé. La jeune Fille se demandait si ce qu’il pourrait avoir. La Famille se taisait et de les mâcher. Après un certain Temps, la Réponse est venue: “Si nous nous en avez assez, t’en auras, toi aussi, quoi.”

– J’ai des Poèmes de Nichita Stanescu lu:

“Ils sont à moi, j’ai dit à vous / Pour vous rassurer Sur les Ailes des Papillons / Le stupide en Zigzag volaient / Elle est à moi. Attend, dormez pas / Tout ce que vous ne comprenez pas / Est liés à moi …”

Ou: “Le Prince, comme il l’Chevaux / Écrasé dans la chute d’un Ange, / Pour cette vaste Sensation / Sang, j’ai aujourd’hui …”

Suite suit.

L’Écrivain de langue allemande Catalin Dorian Florescu (51), né en Roumain, vit depuis 1982 en Suisse. Le Roman “Jacob décide de l’aimer”, il a été, en 2011, avec le Suisse Prix excellent. En Septembre 2017 est apparu en Verlag C. H. Beck, son nouveau Erzählband “Le Nombril du Monde”.