Amnesty: les Femmes, les enfants liée à souffrir des exactions en Irak

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ed par Amnesty International le mardi, avril 17, 2018 montre de 33 ans, mère de six enfants, Zahra, à l’intérieur de sa tente, dans Salamiya camp pour personnes déplacées, où elle et sa famille ont vécu pendant 7 mois. À l’origine de Shwra, au sud de Mossoul, la famille a déménagé à Mossoul il y a trois ans après Zahra, le mari rejoint ISIS, le travail avec le groupe en tant que cuisinier. Il a été tué par une frappe aérienne en juin 2017. Amnesty affirme que son rapport détails de la situation de milliers de femmes de familles dirigées par des laissés à eux-mêmes dans les camps de déplacés après des hommes de la famille ont été tués, arrêtés arbitrairement ou de disparitions forcées. (Claire Thomas/ Amnesty International via AP)

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Irakien des femmes et des enfants avec des liens présumés de l’Etat Islamique groupe sont privées d’aide humanitaire et empêché de regagner leur foyer, et les femmes sont victimes de violence sexuelle dans les camps de déplacés, a déclaré Amnesty International mardi.

Basé à Londres, groupe de défense des droits dit son dernier rapport est basé sur 92 entretiens avec des femmes dans huit camps de déplacés Irakiens dans les provinces de Ninive et de Salaheddin, au nord de Bagdad.

Il a déclaré que le rapport détails de la situation de milliers de familles laissés à eux-mêmes après les hommes de la famille ont été tués, arrêtés arbitrairement ou de disparitions forcées lors de leur fuite EST-détenus à des zones dans et autour de la ville septentrionale de Mossoul.

“Les femmes étaient contraint et contraint à entrer dans des relations sexuelles en échange d’désespérément besoin d’argent, de l’aide humanitaire et la protection contre d’autres hommes,” il dit, ajoutant que les femmes face à l’exploitation sexuelle dans l’ensemble des huit camps.

Amnesty dit que les femmes sont également confrontées à des risques de viol. Quatre femmes ont dit au groupe qu’ils avaient été témoin d’un viol ou entendu les cris de femmes qui ont été agressées par des hommes armés, membres de l’administration du camp, ou les autres résidents du camp.

“Des femmes et des enfants à la perception des liens SE sont punis pour des crimes qu’ils n’ont pas commis”, a écrit Lynn Maalouf, Amnesty chef de Moyen-Orient de la recherche. “Cette humiliation punition collective des risques de jeter les bases de futures violences.”

Les fonctionnaires de l’Irak Chiite dirigé le gouvernement ne pouvait pas être immédiatement joint pour un commentaire. Mais dans le passé, le gouvernement s’est engagé à punir quiconque ayant commis des abus.

L’Iraq a déclaré victoire EST la fin de l’année dernière après une épuisante campagne de trois ans contre les extrémistes Sunnites. La bataille déplacé des centaines de milliers d’Irakiens, principalement Sunnites, et dévasté à majorité Sunnite et les villes.

Amnesty a appelé le gouvernement à montrer que c’était “grave” à mettre fin aux violations des droits des femmes par la tenue de tous les auteurs à compte et de garder des hommes armés à l’extérieur des camps. Il a dit que, dans certains cas, les familles ayant perçu des liens EST confronté à des problèmes lorsqu’ils sont retournés à la maison.

“Dans plusieurs domaines, locales et tribales, les autorités ont émis des ordres qui bloquent le retour des femmes et des enfants à la perception des liens EST,” il a dit. “Ceux qui ont fait à la maison ont été confrontés à des expulsions, des déplacements forcés, pillages, de menaces et d’abus, y compris la violence sexuelle et le harcèlement sexuel”.

Dans certains cas, dit-il, leurs maisons ont été détruites ou ont l’électricité et l’eau coupée.

“Pour mettre fin à la vénéneuse cycle de la marginalisation et de la violence communautaire qui a envahi l’Irak depuis des décennies, le gouvernement Irakien et la communauté internationale doit s’engager à respecter les droits de tous les Irakiens, sans discrimination”, Maalouf a écrit.

“Sans cela, il ne peut y avoir de réconciliation nationale ou à une paix durable.”

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