Journaliste indienne et un autre scribe a ordonné de quitter les Maldives

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Maldives partisans de l’opposition détient des pancartes à proximité de la principale formation d’opposition, Parti Démocratique des Maldives (PEAD) siège lors d’une manifestation exigeant le gouvernement à libérer emprisonné leaders de l’opposition, y compris les anciens Présidents Mohamed Nasheed et de Maumoon Abdul Gayoom, en ligne avec un la semaine dernière ordonnance de la Cour Suprême, dans l’homme, le 10 février 2018. (Source: REUTERS)

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Deux journalistes étrangers, y compris de nationalité Indienne, travaillant pour l’agence de presse française AFP, qui ont été arrêtés par les Maldives et de la police pour violation des règles de l’immigration, ont été obligés de quitter l’île de la nation face à l’agitation politique.

Les deux journalistes, national Indien de l’Argent Sharma et national Britannique d’origine Indienne Atish Ravi Patel, ont été remis aux autorités de l’immigration par la police après qu’il a été constaté qu’ils étaient de travail en violation des pays d’immigration, la réglementation, la police a déclaré dans un communiqué.

“Ces individus ont été trouvés à être de travail et les rapports que les journalistes alors que sur un visa de tourisme, en contravention à la Loi sur l’Immigration et les Règlements,” indique le communiqué.

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La police des Maldives, toutefois, précisé qu’aucune action en justice sera intentée contre les deux journalistes.

“Nous tenons à noter que, même s’ils ont été priés de quitter les Maldives, pas d’autres mesures juridiques seront prises contre eux,” la police a dit.

L’action contre les deux journalistes sont venus comme une société privée de station de télévision de propriété dans le Maldives est allé hors de l’air, citant des menaces au cours de l’actuel état d’urgence.

Rajje TV, qui met en lumière le point de vue de l’opposition politique, a déclaré dans un communiqué qu’il a arrêté de radiodiffusion en raison de l’environnement du pays ne permettent pas aux journalistes de travailler librement et de manière indépendante, l’AFP a rapporté.

De sexe masculin, qui a connu plusieurs crises politiques depuis l’éviction de son premier président démocratiquement élu Mohamed Nasheed en 2012, plongé dans la douce chaos, jeudi dernier, lorsque la Cour Suprême a ordonné la libération de neuf emprisonné les politiciens de l’Opposition, affirmant que leurs essais ont été “politiquement motivé et imparfait”.

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