La lutte contre la pauvreté en Inde: l’Emploi, les transferts, la grande pauvreté-buster

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Avec le renforcement de l’intégration des populations rurales et urbaines, domestiques, les envois de fonds a augmenté fortement.

Écrit: Carlos Felipe Balcazar, Sonalde Desai, Rinku Murgai et Ambar Narayan

Le changement significatif de la ferme du travail non agricole sources de revenus accéléré le déclin de la pauvreté en Inde. Emplois Non agricoles payer plus que le travail agricole et les revenus de ces deux étaient propulsés par une forte hausse des salaires pour les ruraux non qualifiés du travail. Tandis que la baisse des taux de dépendance et les transferts — les transferts de fonds et de programmes sociaux — ont contribué à une réduction de la pauvreté, ils ne sont pas les principaux facteurs de la baisse de la pauvreté entre 2005 et 2012.

Un précédent article de cette série examiné la façon dont l’Inde, de la structure et de transformation spatiale — la transition de l’agriculture vers les services et l’industrie, et des zones rurales vers les zones urbaines — est en train de changer la relation entre la croissance économique et la réduction de la pauvreté. Nous allons maintenant examiner comment les revenus des ménages ont augmenté et ont aidé à réduire la pauvreté. Nous nous demandons comment les différentes sources de revenus ont contribué à la réduction de la pauvreté. Nous examinons aussi comment ces contributions comparer avec l’effet des changements dans la composition des ménages, y compris les changements démographiques.1

Notre analyse montre que les changements couramment associés à la transformation structurelle ont été les principaux facteurs de réduction de la pauvreté au niveau du ménage au cours de la période 2005-2012. Augmentation de la rémunération du travail a été un facteur important dans la réduction de la pauvreté. Tout à la fois agricoles et non agricoles, le bénéfice a augmenté, la hausse a été plus rapide pour les produits non agricoles salaires et de travail salarié. Ce fut à son tour lié à des travailleurs se déplacent de l’agriculture vers des salaires ou de salarié non-agricole travaux que les rendements des revenus plus élevés. Les plus grands changements sont survenus parmi les plus pauvres, qui a été accompagnée par l’augmentation des salaires dans l’emploi occasionnel. Au large de vue sectoriel, la croissance des revenus du secteur non agricole a été le facteur le plus important des changements observés, contribuant à près de 46% de réduction de la pauvreté. En termes de catégories d’emploi, les changements de salaire/travail salarié ont contribué à près de la moitié de la réduction de la pauvreté (voir figures).

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Comme prévu, il y a des régions rurales et urbaines des différences. La hausse des revenus provenant de l’emploi non agricole et de l’auto-emploi sont plus importants pour la réduction de la pauvreté dans les zones urbaines. Dans les zones rurales, d’autre part, de l’évolution de l’emploi à l’écart de l’agriculture a contribué beaucoup plus à la réduction de la pauvreté. Le rythme de la transformation a donc été plus rapide dans les zones rurales, qui avaient une plus forte part de l’emploi dans l’agriculture que dans les régions urbaines pour commencer.

Les changements dans la composition des ménages a contribué à la baisse de la pauvreté (voir figures). C’est la part de travail des membres des ménages a augmenté. Ces changements sont en partie dues à une baisse de la part des membres du ménage qui sont trop jeunes ou trop vieux pour être en âge de travailler; en d’autres termes, en raison d’un changement dans les rapports de dépendance. Ce dividende démographique rend plus de travailleurs disponibles au niveau macro-économique et complète la transformation structurelle de l’économie Indienne.

La hausse des revenus provenant d’autres sources publiques et privées, les transferts, la location, ou revenu d’intérêt — ont contribué à la réduction de la pauvreté. C’était de plus en plus dans les zones rurales. La plus grande part de non-travail sur les revenus, les transferts de fonds, qui a augmenté de manière significative. La forte hausse de la domestique, les envois de fonds, qui font partie du total des envois de fonds, suggère que les zones urbaines et rurales sont de plus en plus intégrée, en mettant en évidence un autre marqueur de la transformation structurelle.

Par conséquent, le taux de réduction de la pauvreté depuis 2005 semble être étroitement liée au motif de la transformation structurelle survenant en Inde. La baisse du ratio de dépendance et, surtout, la forte hausse des salaires pour un travail non qualifié, renforcé les effets de la transformation structurelle. La croissance de la non-qualifiés, les salaires, cependant, a eu lieu en raison d’un quelque peu fortuite confluence de facteurs, que nous examinerons dans un prochain article de cette série.

Pour l’avenir, d’importants défis restent à relever. Ces comprennent l’accélération de la vitesse à laquelle les pauvres, dont la plupart appartiennent à des Tribus — échapper à la pauvreté. Un autre défi consiste à accélérer le rythme de la hausse de la mobilité, de sorte que les ménages ont de plus en plus faire partie d’un précaire de la classe moyenne. Cela nécessite la création plus rapide de la hausse de la productivité de l’emploi. Les prochains articles de cette série sera d’examiner ces enjeux dans le détail.

1 Nous sommes en mesure de faire cette analyse grâce à l’Inde sur le Développement Humain Enquête représentative à l’échelle nationale d’enquête par panel qui fournit des données sur le même ensemble de ménages de deux ans (2005 et 2012) qui sont à peu près identiques à la période bookended par le fonctionnaire NSS enquêtes.

Carlos Felipe Balcazar est analyste de recherche à la Banque Mondiale, Washington, DC; Sonalde Desai est Professeur de Sociologie à l’Université du Maryland et Senior Fellow au Conseil National de Recherche Économique Appliquée; Rinku Murgai est Économiste principal, Banque Mondiale, New Delhi; et Ambar Narayan est Économiste principal, Banque Mondiale, Washington DC.