Uike Bheema (33 ans) attend la carte Aadhaar de son frère Uike Pandu, sa montre et d'autres effets personnels, qui, selon lui, appartenaient à la police, depuis que le jeune homme de 22 ans est décédé dans la tirs des forces de sécurité sur des manifestants tribaux à Chhattisgarh's Mokur près de Silger le 17 mai 2021.
Les initiatives de sensibilisation du gouvernement depuis la confrontation sanglante, y compris la route goudronnée, un magasin de rationnement, un centre de santé et une salle communautaire, n'ont fait qu'ajouter au ressentiment mijoté parmi les tribaux qui disent que leurs principales revendications sont le retrait du camp et compensation n'ont pas été satisfaits.
Rassemblement de manifestants. (Photo express)
Trois tribaux sont morts de blessures par balle le 17 mai de l'année dernièrealors qu'ils faisaient partie d'une foule protestant contre un nouveau camp du CRPF à Mokur. La police affirme que les personnes tuées étaient des maoïstes, une affirmation démentie avec véhémence par les tribaux et les familles concernées.
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Alors même qu'un sit-in sous la bannière de Moolwasi Bachao Manch est en cours depuis les tirs de Mokur, des centaines de tribaux de plus de 30 villages de trois districts – Bijapur, Dantewada et Sukma – se sont rassemblés au village de Silger, à 108 km de Sukma et à 70 km du siège du district de Bijapur, à l'occasion du premier anniversaire.