Lors d’une manifestation organisée par SP travailleurs à Lucknow jeudi. (Express photo par Vishal Srivastav)
Après l’envoi d’une équipe de recherche de l’Uttar Pradesh pour enquêter sur ce qu’ils ont trouvé pour être un “règne de la terreur”, un groupe d’activistes jeudi demandé de mettre fin à la “parrainé par l’état d’une attaque” et de l’indépendance de s’ASSEOIR enquête sous la supervision de la Cour Suprême.
Dans son rapport, l’équipe d’établissement des faits énumérés accusations contre la Police, y compris: le déni de droit de protester pacifiquement en “aveugle” de l’utilisation de l’Article 144, en limitant les flux d’informations avec des fermetures de l’internet, illégal de masse, les détentions et les arrestations, les affiches offrant des récompenses à ceux qui aident la police contre les manifestants, inapproprié des charges dans les Sapins tels que des émeutes avec une arme mortelle, la torture pendant la garde à vue, même mineurs, l’intimidation des détenus ” des amis et des familles, une force excessive et meurtrière contre les manifestants, le refus de traitement de la victime, et les mesures punitives Musulmanes des quartiers.
Dans un communiqué de répondre, les activistes ont également exigé le cas en vertu de la Commission Nationale des Droits Humains et des Minorités Nationales de la Commission, la suspension de culpabilité à l’égard des officiers de police et de compensation pour les familles des personnes tuées. Le groupe Colin Gonsalves, Dur Mander, Kavita Krishnan, Nadeem Khan et Yogendra Yadav, et les acteurs Swara Bhaskar et Zeeshan Ayub pris en charge leurs revendications.
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