Calcutta HC questions de suspension provisoire de la déportation de Rohingya couple au Myanmar

La cour a ordonné au gouvernement de l’état et de l’Union de l’Inde pour déposer un affidavit en date du 10 janvier et les auteurs à répondre pour le 17 janvier. La question sera examinée à nouveau le 20 janvier.

La Haute Cour de Calcutta, mardi, a ordonné une suspension provisoire sur l’expulsion d’un Rohingya couple au Myanmar. Il a également déclaré que, afin de “respecter l’esprit de l’humanité”, le gouvernement de l’état devrait fournir des commodités pour le couple pour les aider à vivre dans la dignité

Dans une ordonnance rendue le 24 décembre, un banc, dirigé par le juge Sabyasachi Bhattacharya resté leur déportation jusqu’à la cession d’un bref pétition qui a été déposée au nom de Abdur Sukur alias Adi Sukur et sa femme Anowara Begam le 18 décembre.

Abdur et Anowara sont logés dans les Dum Dum prison pour les deux dernières années. Ils avaient pénétré en Inde, en 2017. La cour a ordonné au gouvernement de l’état et de l’Union de l’Inde pour déposer un affidavit en date du 10 janvier et les auteurs à répondre pour le 17 janvier. La question sera examinée à nouveau le 20 janvier.

“En vue de l’imminente sort des signataires de la pétition, qui, en dépit de base des droits de l’homme en conformité avec les Droits Fondamentaux prévus par la Constitution de l’Inde ainsi que la Charte des N. U. et les normes d’une société civilisée, un minimum de protection à accorder aux requérants jusqu’à l’acte de la pétition est décidé, afin de préserver l’esprit de l’humanité, si ce n’est les Droits Fondamentaux consacrés dans la Constitution de l’Inde, qui est le groundnorm de tous les Indiens statuts. En conséquence, les répondants sont tenues de déposer leur déclaration(s) en opposition dans un délai de 10 janvier 2020. Répondre/réponses, le cas échéant, doit être déposée par les requérants dans le 17 janvier 2020. Les répondants doivent être immobilisés par une ordonnance d’injonction de renvoyer les auteurs de l’Inde durant le temps d’attente de l’acte de la pétition,” lecture de l’ordonnance.

Le couple, dans le de 64 pages bref pétition, ont dit qu’ils ne voulaient pas être expulsés parce qu’ils font face à la persécution. Selon la présentation par l’avocat de la Indrajeet Dey, les expulser au Myanmar équivaudrait à une condamnation à mort.

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