Erdogan a dit que la Turquie va augmenter le soutien militaire de la Libye, si nécessaire

Prenant la parole devant Erdogan, le Ministre de la Défense Hulusi Akar a indiqué que la Turquie debout par le gouvernement de la Libye jusqu’à ce que la paix, la stabilité et la sécurité sont établies dans le pays. (AP Photo)

La turquie va augmenter son soutien militaire à l’échelle internationale a reconnu le gouvernement de la Libye, si nécessaire, et elle évaluera la terre, de l’air et de la marine des options, le Président Tayyip Erdogan a déclaré dimanche, après les deux parties ont signé un accord de coopération militaire le mois dernier.

La turquie le dos de Fayez al-Serraj du Gouvernement de réconciliation Nationale (GNA) en Libye, qui a été déchiré par des conflits entre factions depuis 2011, et a déjà envoyé des fournitures militaires à la GNA malgré des Nations Unies, un embargo sur les armes, selon un rapport de l’U. N. experts vu par Reuters le mois dernier.

La turquie a également dit qu’il pourrait déployer des troupes à la Libye si le GNA fait une telle demande. Le GNA a été la lutte contre un mois d’offensive par Khalifa Haftar des forces basé dans l’est du pays. Les forces de Haftar ont reçu le soutien de la Russie, l’Egypte, la Jordanie et les Émirats Arabes Unis.

“Si nécessaire, nous allons augmenter l’aspect militaire de notre soutien à la Libye, et d’évaluer toutes les options à notre disposition, à partir du sol, de l’air et de la mer”, a dit Erdogan lors d’un événement dans le nord de la province de Kocaeli.

Prenant la parole devant Erdogan, le Ministre de la Défense Hulusi Akar a indiqué que la Turquie debout par le gouvernement de la Libye jusqu’à ce que la paix, la stabilité et la sécurité sont établies dans le pays.

Le mois dernier, la Turquie et le GNA signé un accord pour relancer la coopération militaire et un accord séparé sur les frontières maritimes, qui a exaspéré la Grèce. Ankara et Athènes ont été en désaccord sur les ressources d’hydrocarbures au large de la côte de l’île divisée de Chypre.

Tandis que la Grèce a déclaré que l’accord viole le droit international, la Turquie a rejeté ces accusations, affirmant qu’il vise à protéger ses droits dans l’est de la Méditerranée. Dimanche, m. Erdogan a indiqué que la Turquie sera “absolument” pas tourner le dos à partir de ses accords avec la Libye.

“Personne ne doit venir à nous avec des tentatives de nous exclure, nous enfermer dans nos propres côtes ou de voler de nos intérêts économiques”, a dit Erdogan. “Nous n’avons pas l’intention de départ des conflits avec quelqu’un sans raison, ou de voler quelqu’un de leurs droits”, dit-il. “Ceux qui s’opposent à nous n’ont pas le sens des droits, du droit, de la justice, de l’éthique ou de la miséricorde”, m. Erdogan a déclaré, se référant à la Grèce, Israël et l’Egypte, qui se sont opposés à l’accord maritime.

Dans une première réaction de la part des États-unis sur l’accord, un chef de Département d’Etat AMÉRICAIN fonctionnaire a déclaré que le maritime, l’accord était “inutile” et “provocatrice.”

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