La guinée-Bissau ne trouve pas d’Issue à la Crise politique. Le Week-end a dû, une fois encore, l’afrique de l’Ouest Communauté économique CEDEAO intervenir en qualité de médiateurs.
Assez meilleurs Ennemis: le Président José Mario Vaz (à gauche) et Domingos Simões Pereira (Président du PAIGC)
“Ce qui, depuis des Années, en Guinée-Bissau qui se passe, c’est la honte pour la Population: Une demi-Douzaine de Gens se bloque depuis des Années, tout un Pays dans le Chaos”, résume Luis Barbosa Vicente, Politique Analyste de la Guinée-Bissau, la Situation dans son pays d’ensemble. La Crise durera maintenant cinq Ans et Risque de dégénérer. La guinée-Bissau même un baril de poudre, de sorte Vicente dans la Conversation avec la DW.
En fait, le Pays se trouve depuis des Années, à l’Arrêt: Les principaux Acteurs politiques du Pays sont en désaccord et se bloquer mutuellement; l’Etat a ses Tâches les plus élémentaires de pratiquement abandonné. De nombreuses Écoles et Universités sont fermées, le système Judiciaire est, de facto, s’effondre, la Santé publique se trouve au Fond.
Privés Inimitiés, politiques, Intrigues
Les Protagonistes de la politique Ränkespiels: d’un Côté, le Président José Mario Vaz, appelé Jomav, d’autre part, la Majorité du Parlement avec deux Hommes forts: Domingos Simões Pereira, Président du plus grand Parti PAIGC, et le Président du parlement, Cipriano Kassamá, également PAIGC.
La guinée-Bissau se trouve depuis cinq Ans dans Dauerchaos, au grand dam des Citoyens ordinaires
Le Président Jomav y a cinq Ans par le Peuple été élu, le PAIGC à. Toutefois, il est à la direction du Parti depuis des Années, divisée et refuse obstinément son adversaire Pereira, le chef du Gouvernement de nommer. Les observateurs parlent de graves Désaccords au Niveau privé, mais aussi par des Différences politiques. De la cohérence de la politique Gouvernementale a, depuis Jomavs Choix de ne pas se réaliser, car le Parlement a refusé de lui la Collaboration.
Des élections législatives ont pas apporté de Solution
Lors des élections Législatives du 10. Mars 2019 a pu le PAIGC dans un gouvernement de Coalition avec trois petits Partis d’une Majorité de 54 102 Sièges dans le nouveau Parlement sauvegarder. Un clair de Légitimité pour la Formation d’un Gouvernement sous le PAIGC-Président Pereira, la politique de l’Observateur. Le président Jomav restait toutefois, Pereira, le chef du Gouvernement de nommer. Au lieu de cela, il a chargé le 22.06.2019 Aristides Gomes, il est déjà en Avril 2018 nommé premier Ministre avait, à nouveau, avec la Formation d’un Gouvernement.
Aristides Gomes (à gauche) a été créée le 22. 06. 2019 par le Président José Mario Vaz (à droite), nommé premier Ministre
Un Jour plus tard, a couru Jomavs Präsidentenmandat après cinq Ans de Mandat, officiellement. Un Cède Jomavs de la Scène politique était cependant pas connecté: Avant le 24. En novembre, les Citoyens appelés aux Urnes pour un nouveau Président de choisir. Jusque-là, il allait rester au Pouvoir, puis pour un autre Mandat de cinq ans en tant que Président de se présenter, de présenter Jomavs de Calcul.
Est Jomav, ni le légitime Président de la république?
Cela, à son tour, le Parlement a voulu ne pas les accepter: La Majorité des Députés a pris la Semaine dernière (26. 06. 2019) de la Décision, le Président de l’Office à l’avance. Jusqu’à l’Élection d’un nouveau chef de l’état devrait Parlement, Cipriano Kassamá le poste de Président de interimsmäßig appliquer, de sorte que le Plan de la chambre des Députés, d’une Décision, les Jomav pas accepté et avec un “Coup d’etat institutionnel” gleichsetzte.
“La plupart du Législateur sont, pour l’Instant, pas sûr, celui qui, lors de ce Conflit tout à fait le Droit de son Côté. Je pense que seuls les Tribunaux de grande instance sont habilitées à le préciser”, dit l’Analyste Vicente. Le fait est: Ces Questions, il faudrait que les Gens en Guinée-Bissau-même de clarifier leurs propres Tribunaux. Si ce pas suffisamment indépendante, que ce soit douteux.
La CEDEAO soutient Jomav et émet des Exigences
En dépit du Conflit interne et de ses Facto la Destitution par le Parlement, a voyagé Jomav le Week-end dernier pour la CEDEAO Sommet à Abuja. Lors de la Réunion dans la Capitale du Nigeria a été le Thème de la Guinée-Bissau, tout en haut de la Liste. Il était comme le Chef légitime de son Pays, a déclaré Jomav. Il a lancé un appel aux Dirigeants de la Région, pour le soutenir.
CEDEAO-Conférence à Abuja: La crise durable en Guinée-Bissau stand à l’ordre du jour
Les Chefs d’etat de la Communauté économique ouest-africaine a été convenu que, Jomav jusqu’au Choix de l’Office doit rester, mais avec des Compétences limitées. En outre, ils ont décidé d’un certain nombre de Conditions: la formation d’un Gouvernement de la Guinée-Bissau jusqu’au 3. Juillet 2019 être terminée. En outre, l’actuelle cour suprême juge constitutionnel être remplacé, dont le Mandat est également le 23. Juin a expiré.
“La Solution que nous avons à Abuja, ont trouvé, c’est que j’ai, le Président de la république, jusqu’aux Élections le 24. En novembre, l’Office de rester et de continuer les Lois et les Décrets signerai”, a souligné Jomav à son Retour d’Abuja. Que ses Pouvoirs après l’Expiration de son Mandat, partiellement étaient accepte bien sûr. Également désigné premier Ministre Gomes a donné une conférence de Presse annonce que les Décisions d’Abuja, en accepter et de mettre en œuvre la laine.
Première Priorité: l’Intervention de l’Armée pour empêcher
“La CEDEAO, l’UA, de l’UE ou de la Communauté des Pays de langue Portugaise CPLP lancer de nouvelles Initiatives visant à résoudre nos Problèmes internes, mais les Solutions à la Crise en Guinée-Bissau. Les Politiciens nous ont tout bousillé fourrés et aussi ils doivent auslöffeln”, dit l’Analyste Vicente. Or, les Solutions dans les Rangs de la Politique, de la Justice et de la société Civile, et non par les Militaires.
A plusieurs reprises, dans les 45 ans de l’Histoire du Pays, l’Armée au Pouvoir fait plus d’un putsch. À l’heure actuelle, le Risque d’un coup d’état militaire n’est pas de la Main, de sorte Vicente. “Les Militaires ont, dans le Passé, à partir d’une bien moindre Occasion, comme cela a été le Cas est intervenu. J’en appelle à l’Armée, que cette fois, rester en dehors de ça.”
Collaboration: Fátima Tchuma Camará (Bissau)