
FDC signifie une combinaison de deux médicaments ou plus dans une posologie fixe ratio.
Après avoir examiné 349 fixe des combinaisons de médicaments (Adf), un groupe d’experts du ministère de la santé mercredi recommandé que 343 d’entre eux doit être “interdit” et les six autres doivent être “limitées ou réglementées”.
En décembre l’année dernière, la Cour Suprême a ordonné au ministère de la santé de l’organisme expert en, Médicaments du Conseil Consultatif Technique (DTAB), pour un nouvel examen de l’innocuité, de l’efficacité thérapeutique et la justification de ces 349 Cdf. Par conséquent, le DTAB a formé un sous-comité, qui a étudié la question et a présenté ses recommandations sur mercredi.
FDC signifie une combinaison de deux médicaments ou plus dans une posologie fixe ratio. Selon un haut fonctionnaire du gouvernement, l’expert de la sous-commission a clairement indiqué dans son rapport que “pour la plupart des Cdf, leur utilisation engendre inutile, la surexploitation et les patients seraient exposés au risque de multiples ingrédients quand on suffirait”.
Le fonctionnaire a ajouté que, selon le panneau, alors que 343 Cdf devrait être interdit, “trois Cdf doit être restreint pour des indications spécifiques ou de maladies”, et autres “trois Cdf devrait être limitée à des quantités d’ingrédients et pour des indications spécifiques”. Total 344 Cdf ont été interdits sur le 10 Mars 2016, par le gouvernement central sur la suggestion du groupe constitué sous la présidence de C K Kokate. Certains ont été interdits ont été: Céfixime + Azithromycine, l’Ofloxacine + l’ornidazole de Suspension, et le Métronidazole + Norfloxacine.
Kokate comité, qui a étudié l’irrationalité de divers Cdf, a recommandé l’interdiction de la 344, citant la hausse de la “résistance aux antibiotiques” dans les pays comme l’une des raisons. La résistance aux antibiotiques est la capacité d’un micro-organisme qui est à l’origine de la maladie, de résister aux effets d’un médicament antibiotique.
Le 1er décembre 2016, la Haute Cour de Delhi frappé de l’interdiction en indiquant que le gouvernement avait agi dans un “ordre dispersé”. La question est ensuite allé à la Cour Suprême, qui a déclaré en décembre de l’année dernière: “afin qu’une analyse soit faite de manière plus approfondie, par conséquent, nous croyons que ces cas devraient aller à la DTAB et/ou un sous-comité formé par le DTAB pour le but d’avoir un relooker dans ces cas.”
Le SC a déclaré que le DTAB ou de ses sous-comité devra décider si elle est “nécessaire, dans l’intérêt du grand public, de réglementer, restreindre ou interdire la fabrication, la vente ou la distribution de ces Cdf”.
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