Altmann: “Sur la Crimée, les Russes ne sont pas menacés”

Crimée-Crise

Altmann: “Sur la Crimée, les Russes ne sont pas menacés”

Ce qui, on le Kosovo a confié on peut de la Crimée ne pas refuser, a fait valoir le Président russe, Vladimir Poutine. Les deux Cas, mais ne sont pas comparables, dit le Osteuropaexperte Franz-Lothar Altmann.

Deutsche Welle: M. Altmann, Président de la Russie vladimir Poutine a récemment dans un Discours de l’Engagement de Troupes russes en Crimée et l’international, du Déploiement au Kosovo, sont comparés. On peut la Situation en Crimée, l’Ukraine, le tout avec le Kosovo, comparer, autrefois une Partie de la Serbie?

Franz-Lothar Altmann: Je pense que c’est comme des Pommes et des oranges comparaisons. Au Kosovo, la Situation était fait de sorte que la Population albanaise était menacé par les Actions de l’Armée serbe. Il y a eu de vastes Déplacements de population, au lieu de, il existait un Risque qu’un Génocide. Ensuite, l’Intervention de l’extérieur. Mais cela s’est fait non pas pour le Kosovo, une Partie de l’Allemagne ou de l’Amérique. Alors que dans le Cas de la Crimée, l’Utilisation des Troupes russes, évidemment, avec le But de la Crimée à la Russie pour le récupérer. C’est une grande Différence. Un autre Point est qu’aucune Menace pour la Population russe sur la Crimée stock, pas de Pogroms à craindre. Cette Gefahrenzustand, au Kosovo, en fait stock, est à la Crimée en aucun Cas être donné.

Le droit international n’est pas unique

Le Référendum sur l’Indépendance de la Crimée, la Situation dans le Nord du Kosovo, en Serbie, en Bosnie-Herzégovine ou dans d’autres Pays, d’influencer ou d’, la Crimée est un Cas sui generis, c’est donc un Cas particulier, différent de tous les autres?

Chaque Cas est un Cas sui generis”. Si Vous avez encore une fois brièvement sur la Russie penser: la Russie a, dans le Cas de la Tchétchénie, est intervenu pour une Séparation à l’empêcher. La russie ne s’applique pas dans le Cas de la Crimée, une Séparation, et permettre à la Crimée dans le Pays. Donc, même ces deux Cas sont différents. Avec le Kosovo, à comparer à la Catalogne, l’Ecosse, à mon avis, pas possible. International, la Question de l’Autodétermination très controversée. Il n’existe pas d’Accord quant à la date de l’Autodétermination ou d’une Scission, un Référendum est justifiée. On va toujours partie du principe que, si possible, la Situation est stable. Si et seulement si le véritable Instabilité menace, justement, par Exemple, par un Génocide ou d’Expulsion -, on estime qu’une Séparation de fait d’être justifiée.
On a maintenant, bien sûr, des problèmes dans le Cas de la Catalogne, l’Écosse, où il est alors de nouveau est-à-dire, une Sécession d’une Scission – n’est possible que si la Mutterstaat est d’accord. Donc, ici, tout est encore très Incertain, et l’on peut d’un Cas à l’autre de ne pas comparer. Mais on peut l’Urgence à différents Niveaux tout à fait fois de définir.

La Mutterstaat mais une Scission peu d’accord!

Je suppose que dans tous les Cas, la Mutterstaat d’abord dit Non, et de s’opposer ainsi une Scission se défendre. C’est, je crois, d’emblée. Mais encore une fois Le Cas, comme au Kosovo et en Tchétchénie ou la Catalogne ne sont pas comparables. On doit vraiment au cas par Cas, de voir quelles sont les Raisons pour Sezessionswunsch, dans quelle mesure les Influences de l’extérieur, ici aussi, est déterminant. Dans le Cas de la Crimée, il est évident que le Référendum ne permet, que la Russie est intervenu et que les Troupes de la Russie sur la Crimée est crée.

Vous voyez en fait, dans la Crimée ou de Crise en Ukraine, une Solution à la fois l’Occident et la Russie pour sauver la face?

Oui. Si l’Organisation de l’Etat ukrainien dans une véritable Fédération changé, cela pourrait être une Solution. C’est-à-dire que l’Autonomie de la Crimée, ni une Qualité supplémentaire obtient, en tant que Partie d’une Fédération ukrainienne. Et que, peut-être même l’est-une Partie de l’Ukraine est un État approprié.

Franz-Lothar Altmann est Professeur au Département International et des Relations Interculturelles de l’Université de Bucarest et appartient à la Présidence de l’europe du sud-Société de Munich. Il est également Membre du BTI-conseil d’administration (Bertelsmann Transformation Index).

Entretien conduit Bahri Cani.


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