La culture
Brisly: “l’Art est dans la Syrie est un Luxe”
La guerre Civile en Syrie a dévasté une grande partie du Patrimoine culturel du Pays détruit. Mais en dehors de la Syrie, les fleurs de l’Artistique et est plus riche que jamais, l’Artiste syrien Diala Brisly.
Pire qu’en Irak, en Afghanistan ou au Mali, il est de la Syrie, de l’UNESCO, Représentant un couple de Jours déterminé. De nombreux Trésors culturels du Pays, ont été au cours des Combats, détruit. Peu d’Artistes travaillent encore aujourd’hui en Syrie, raconte
Diala Brisly. L’Artiste a le Pays lui-même il y a environ une Année, et vit et travaille aujourd’hui à Istanbul.
Deutsche Welle: il Y a encore des Artistes en Syrie?
Dalia Brisly: Oui, mais seulement quelques-uns. Il n’existe pas de communauté d’artistes là-bas. Qui son Opinion en disant ou plus de Chansons ou de l’Art exprime le fait sous un Pseudonyme. Sinon c’est trop dangereux. Il y a aussi quelques Expositions. On ne peut pas plus tôt comparer. Pour la plupart des Gens en Syrie, a l’Art tout simplement pas une Priorité. C’est plutôt un Luxe. Une Exception est la petite Ville de Kafranbel. Il y a un Théâtre et un centre Culturel. Les Artistes d’utiliser l’Art comme Message aux Gens du dehors. En dehors de la Syrie, mais c’est différent, car il va syrien, Artistique, même mieux que jamais.
“La Frontière n’est que le Ciel” – Dessin de Diala Brisly
Pourquoi?
Je savais, avant la Révolution, pas du tout, il ya tellement d’Artistes dans notre Pays. Nous n’avons jamais entendu parler les uns des autres, nous n’avions pas de Réseau. Maintenant, nous allons nous rencontrer et nous permet de travailler librement et de nos Revolutionskunst. Auparavant, on ne pouvait rien faire. Si vous avez un Magazine ou d’un Livre, publier, il fallait un Officiel de connaître ou d’utiliser un Pseudonyme. Maintenant, nous n’avons pas plus de Peur de dire quelque chose.
Mais Vous avez aussi en Syrie, déjà sous Leur vrai Nom soit publié.
Oui. Quelques Amis et moi, nous avons décidé de ne pas Pseudonymes plus utiliser. Avant cela, j’ai mes Images avec “Elvis Presley”, signé. Mais il était très dangereux, sous mon vrai Nom. J’ai eu beaucoup de Chance.
Comme a parce que les syriens Scène de l’art en Exil?
Auparavant, de nombreux Artistes à l’ouest marquée maintenant, c’est l’Art plutôt oriental. Les Gens sont plus émotives, vous manquez la Syrie. Les musiciens font par Exemple les Chansons de la traditionnelle syrienne, la Musique a marqué. Mais vous mélangez avec de la roche. Par Exemple, avec Pink Floyd. Nous aimons les Pink Floyd! Les faire Revolutionssongs.
Il a été auparavant à peine syrien de faire de la Musique, c’est différent maintenant. C’est surtout au Liban, à Beyrouth, il y a beaucoup de Groupes, de Concerts, de Festivals, de nombreuses Activités d’Artistes.
Les syriens de l’Art est donc maintenant encore plus qu’avant?
Autoportrait désormais est signé de l’Artiste, de retour avec son vrai Nom
Oui. Et ce sera mieux qu’avant, quand tout est fini. Beaucoup de Gens n’ont pas d’Espoir, ils ont cessé de s’engager politiquement. Il n’est pas facile, sur le plan politique, mais je trouve qu’on ne doit pas abandonner. Il faudra du Temps, dix Ans peut-être. Mais à un moment donné de la Journée de la Paix. Je crois à la les Enfants syriens, ils sont l’Avenir du Pays, ils sont la Syrie à construire. C’est pourquoi je travaille avec eux dans les Camps de réfugiés.
Que faites-Vous là avec les Enfants?
Vous avez besoin d’une bonne Formation. Beaucoup étaient déjà pas beaucoup de temps à l’École. Je travaille sur un Livre illustré, je crois, ce qui les rend plus Amusant et peut vous aider à Apprendre. À Beyrouth, il est aussi un Art pour les Enfants dans les Camps, afin que vos Sentiments dans votre Situation et vous exprimer. Je me demande aussi, à Beyrouth, de tirer et de partager avec quelques Amis, une Bibliothèque pour Enfants de construire. Je me sens plus utile qu’ici, à Istanbul.