L’afrique du sud
Johannesburg – difficile à Guérir une Ville de blessés
Les investisseurs veulent Centre-ville de Johannesburg est de ramener à la Vie. Le Quartier les années de la Criminalité et de la Violence des marchandises, doivent être des Lieux pour tous les sud-africains. Mais qu’est-ce que les pauvres Citoyens?
Dans Braamfontein ou Maboneng, la
Apartheid, seulement un, en outre Cauchemar. Les deux Quartiers de Johannesburg sont très populaires. Des gens de toutes les couleurs de peau à flâner, de cafés et de boutiques de Créateurs, en passant. Sur Nachbarschaftsmärkten vendre Riverains finger food du Monde entier.
Mais ces Quartiers sont l’Exception, sinon la Séparation des Races et des Classes continue presque partout une Réalité. Dans le Centre de Johannesburg, de blancs sud-africains, à peine à voir.
“C’est incroyable de voir comment les blancs et les riches Citoyens, en raison de l’Incertitude, c’est la Fin de l’Apartheid a de la vie urbaine et dans les Environs, ont été retirés”, dit l’Architecte et Urbaniste Guy Trangos. “Il est souvent dit que les Murs de l’Apartheid sont tombés, les Murs des Environs, mais s’élever”, Trangos.
“Gated Communities”, dans le Nord – “No-Go Areas” dans le Centre-ville
Celui qui peut se le permettre, vit aujourd’hui protégés et strictement surveillé Résidentiels au Nord de Johannesburg – les “Gated Communities”. Fil de fer barbelé, meterhohe Murs et des Chiens de garde doivent dissuader les Cambrioleurs.
Le Centre-ville, à l’Époque de l’Apartheid, les blancs Minorité réservés, a connu depuis la Fin des années quatre-vingt et surtout dans les Années quatre-vingt-un rythme effréné. Les banques et les Entreprises s’en allèrent. Tandis que les blancs, le plus souvent riches de la Population a disparu, ont noir, bras sud-africains et des Réfugiés dans les pays Voisins au Centre dans les vides du Bâtiment.
De nombreux Bâtiments sont ici dans le Maboneng Quartier rénové
“Comme de véritables Bidonvilles né”, dit l’Architecte sud-africain Anne Graupner, dont l’un des Parents de l’Autriche proviennent. “Les Gens, la construction de ses Bâtiments ont quitté, n’a pas payé plus pour l’Eau et l’Électricité et les Maisons d’été repris”, Graupner. En partie des acquisitions, auto-proclamé “le Propriétaire”, les Bâtiments et perçue par les Habitants de la Location.
“Les officiels, les Propriétaires n’avons pas eu de Chance, le Bâtiment de reprendre, car ce ne fut qu’avec la Violence”, explique Graupner.
Squats comme un Facteur de risque
Sur les Bâtiments, les clandestins “Slumlords” gouverne, il y a des Centaines dans le Centre-ville de Johannesburg. Des centaines de Personnes vivant dans les Maisons, souvent à plusieurs dizaines dans les petits Appartements poussé. L’Eau et l’électricité ne sont pas disponibles. Étant donné que les Ascenseurs dans les Immeubles de grande hauteur ne fonctionnent pas et il n’Collecte des déchets, de jeter les Habitants de leurs Déchets, souvent à partir de la Fenêtre.
Dans le Centre-ville de Johannesburg sont encore des centaines d’occupation de Maisons
“Lorsqu’on est dans un squat passe, il faut faire attention qu’aucun mauvais Tv tombe sur la Tête”, dit Bafikile Mkhize et de rires. 42 Ans habite à forte densité de population dans le Quartier de Hillbrow, au nord, le quartier des Affaires de centre. Elle dirige l’Association se trouve, à l’Aide d’une agence de Sécurité privée et de travailleurs Sociaux, tente de le délabré et dangereux Hillbrow plus propre et plus sûr.
“Je ne veux pas vivre dans une Ville dans laquelle j’ai, d’après la tombée de la nuit, la Maison n’est pas plus la quitter, parce que j’ai Peur des Agressions”, explique Mkhize un Sujet de leur Travail.
La criminalité est en grande partie de Johannesburg est un Problème. Le Centre est aujourd’hui considéré comme dangereux, surtout la nuit, et pour les Blancs que pour les Noirs. De nombreux Bâtiments qui s’y sont égarés de plus en plus.
Au Cinéma, le Soir de la dans le Ghetto
Mais depuis quelques Temps, de l’Argent coule à nouveau dans le Centre-ville. Les promoteurs immobiliers et les Investisseurs tentent, avec de nouveaux Concepts individuels Quartier de valoriser. La Société Urban Ocean environ acquiert un Bâtiment historique, dans l’ancien quartier des Affaires de Johannesburg. La Société, rénové et vendu ou loué y Luxusappartments nobles et des Bureaux.
Le sud-africain Jonathan Liebman, cependant, plusieurs Rues avec des anciens Entrepôts et des installations Industrielles à l’est du Centre, transformé et l’on en déduit le Quartier branché de Maboneng créé. Des cinémas, des Bureaux, une Auberge de jeunesse, de Galeries et de Restaurants à attirer les de Johannesburg, classes moyennes et supérieures dans les, récemment encore, délabré de l’Arrondissement. Aussi Thireshen Govender, Urbaniste travaille, excita le Projet.
“J’aime le Sentiment que quelque chose dans le Centre-ville de Johannesburg est stimulant”, dit Govender. “J’aime que les Bâtiments existants sont utilisées et que la Ville n’est pas radicalement changé. J’aime la Proximité des des Quartiers.”
Les plus pauvres doivent aussi une Place dans les nouveaux Quartiers, demande d’Urbanistes Govender
Néanmoins, voit lui aussi dans Maboneng une Sorte de corps étranger dans un autre Quartier pauvre. “Je pense que les Gens a l’extérieur, rien de tout cela, parce que vous ne faites pas Partie des Circuits économiques”, Govender.
Pour des Gens comme Fikile Zulu-Phala est Maboneng néanmoins, une Bénédiction. La Styliste vend des Vêtements occidentaux Design, mais avec des sud-africains Éléments. Pour cela, elle vient de la Township de Soweto, au sud-Ouest de Johannesburg ici. “J’aime Maboneng”, dit-elle. “L’Ambiance est agréable et on y rencontre des Gens de toutes les races. En outre, je me sens en sécurité ici.”
Pas de Place pour les Pauvres
Certains de Johannesburg à craindre que les nouveaux Investisseurs de l’Argent et de la hausse des prix de l’immobilier, les plus pauvres, le plus souvent en noir Couches de retour à partir du Centre-ville évincé. Le Phénomène de “Gentrification”, on connaît dans le monde entier, en Afrique du sud, il a, cependant, en raison de l’Histoire de la Ségrégation raciale, une autre Actualité.
“Lorsque l’on a un profond Fossé économique le long de la race, Lignes a, on divise la Population en très forte”, estime Guy Trangos. “Avec l’augmentation de la Privatisation augmente, l’Écart est encore plus loin”, prévient des Urbanistes.
Ainsi, le Centre-ville de Johannesburg une Place pour tous les sud-africains vais, il faudrait bien que de nombreux Bâtiments reconstruits et il convient, pour plus de Sécurité sur les Routes en sorte. Mais il est tout aussi important Logement abordable pour les plus pauvres de Johannesburg. Seulement alors susceptibles de tous les sud-africains, quelle que soit leur Couleur de peau, la cohabitation et l’Apartheid vraiment être surmontés.
“Il sera intéressant de voir comment le Centre-ville, dans dix Ans, ressemble et qui est vraiment Partie de celui-ci”, dit Trangos. “J’espère qu’il reste encore de la Place pour les actuels Habitants. Il doit en être ainsi.”