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“J’ai pensé, c’est la Fin de ma Vie”

Nigeria

“J’ai pensé, c’est la Fin de ma Vie”

Plus de 200 Élèves tient du Nigeria Terrorsekte Boko Haram toujours dans leur Violence. DW-Reporters ont une Fille, le fait de fuir. Élève au-dessus de graves Accusations à l’encontre de la Police et de leurs Enseignants.

DW: Pouvez-vous Vous souvenir du Moment, comme Boko Haram, Votre École a attaqué?

Esther Musa (Nom modifié par la Rédaction): Nous étions dans notre Dortoir, il était aux environs de 22 Heures. Vinrent les Hommes de Boko Haram et ont dit: “venez, tous ensemble, et suivez-nous!” Nous avons fait ce que vous avez demandée. Ensuite, ils nous ont mis sur les Véhicules distribués et sont avec nous déblayé.

Qu’est-ce qui Vous en Tête?

J’ai pensé: aujourd’Hui, c’est la Fin de ma Vie. Ils vont tous nous tuer. C’est la seule chose dont je me souviens. J’ai seulement pensé que Dieu va m’aider.

Qu’est-ce qui se passe?

À un moment donné, certains Camarades de classe et j’ai donc fait comme si nous sommes sur les Toilettes. Ensuite, nous sommes encore couru et couru. À un certain moment, nous avons une Maison de Fulanis vu (Groupe ethnique de la Région, Note. d. Red.). Nous leur avons demandé: Pouvez-Vous nous la Route de Chibok? L’Homme nous a dit qu’il est très loin à Chibok, mais il nous a donné le Chemin vers le prochain Village montré. Là, nous avons demandé si il ya un moyen de Transport après Chibok. Ils pensaient que c’était trop tard, il est préférable, dans le Village de la nuit. Ils nous ont de la fraîcheur, des Vêtements, et le lendemain, nous avons ensuite essayé de retour à Chibok.

Et a fonctionne?

Non, puis nous sommes arrivés à un Checkpoint de l’Armée. Quand ils ont compris ce que nous avons fait de kidnapper des jeunes Filles de Chibok, on nous a dit que nous n’avons pas de retour de nos Familles. Ils nous ont ordonné, avec vous, à la Caserne après Maiduguri (Capitale de la Région, Anmerk. d. Red.). Là, nous devions à vos Supérieurs que vous dites que vous nous sortir de la Captivité de Boko Haram libérés auraient. Vous nous avez quelques Jours à la Caserne de détenus, puis nous avons été au poste de Gouverneur.

Mais l’École a été pourtant de Policiers, de gardes et il y avait aussi des profs. Comment ont-ils réagi lorsque l’École a été attaqué?

Les biens ne sont plus là. Les au préalable s’enfuir.

Ils sont tous partis en courant et avez-Vous et les Camarades de classe, à l’École, laissé à soi-même?

Oui.

Les Enseignants savions déjà que quelque chose se passerait-il?

Oui. Quelqu’un a averti des Enseignants, que Boko Haram est venue à l’École à l’attaque. Envoie les Enfants à la Maison, avez-vous dit. Mais les Enseignants ont dit: Si vous rentrez Chez vous, vous ne recevrez pas de Témoignages.

Ils avaient même car une Idée de ce que Boko Haram attaquent?

Non.

Expliquez-nous le demande encore une fois: Les Enseignants et Leurs Camarades ne les laissez pas aller?

Le Vice-Directeur (original: Vice-Academic) a dit: Si vous weglauft, votre Examen final, ne comptent pas.

Ce qui se passe dans votre esprit, si Vous de tous Vos Camarades de classe pensent encore dans la Main des Terroristes?

Je crois qu’ils vivent encore. Vous faire très mal.

Comment allez-Vous? Par Exemple, Vous pouvez dormir en Paix?

Non, je dormirai pas. Je dois toujours penser à eux.

Il y avait jusqu’à présent un certain Type de l’Aide pour Vous? Aucune Réaction du Gouvernement ou psychologique?

Non, il n’y a pas d’Aide.

Quel Type d’Aide seraient-Ils besoin?

Je veux retourner à l’École.

Vous n’avez pas Peur de retourner à l’École?

Mais, j’ai Peur. Je ne vais pas y retourner à l’École à Chibok. Je voudrais une autre École, d’ailleurs.

L’Interview Uwais Idris et de Jan-Philipp Scholz.

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