Comme les Chrétiens africains en France Corona souffrance

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Les Églises africaines à l’Étranger sont de domicile à l’Étranger, le Réseau social, Ersatzfamilie pour des milliers de Personnes. Mais la Corona de Crise, il est difficile de Croire et de vivre. À Partir De Berlin, Daniel Fourrure.

Melanie ci-Dessus ne chante pas juste. Vous écrase les Chansons avec un tel Engagement, comme elle ne pourrait à lui seul l’ensemble du Chœur remplacer. Exactement le même. 20 Personnes seraient en fait maintenant à côté d’elle, mais la Orgelbühne est presque vide. Seuls les indigènes Kamerunerin ci-Dessus, un autre Chanteur et Claviériste sont là.

L’Église de garder le silence

“Vous voyez comment nous devons faire mieux”, dit-Dessus. Mais il en vaut la peine. Comme un chaud Tapis baisse leur “Gloire à Dieu” dans l’Église d’en-haut. Là-bas, il faudrait que les Gens maintenant, en fait, de se lever, chanter, applaudir. Mais il reste tout est calme. Seulement une Femme sur le Banc bourdonne doucement, presque timidement, derrière votre protège-dents avec.

Le Culte le dimanche, pour un est un Morceau d’Afrique au cœur de Berlin-Schöneberg. Deux Mondes se rencontrent, aussi différents que juste possible. Car l’imposante Église sainte-Elisabeth, sombres des bancs en Bois et des Fenêtres de style gothique, tout à fait traditionnel français. Là, les couleurs africaine Commune avec leurs Chants et Traditions, les Kenyans, les Nigérians, Kamerunerinnen comme Melanie ci-Dessus. “Si je suis ici dimanche, chante, je me sens à la maison”, dit-elle.

Pour beaucoup d’Africains, du Culte à l’Étranger, une Pièce de la Maison

Mais dans Corona-Temps, tout est différent. Ce n’est que depuis Début Mai, ne Culte dans des Conditions strictes, à Berlin jamais avoir lieu. Qui veut venir, il faut s’inscrire. Un maximum de cinquante Personnes sont autorisées. À l’Entrée de veille attentive et Auxiliatrice, que toute la désinfection des Mains. Jusqu’à Mélanie ci-Dessus, et de leurs Collègues, une personne ne peut chanter.

Des Mois D’État D’Urgence

“La Messe est comme rentrer à la Maison”, dit le Curé Sylvester Ajunwa. En Temps de Pandémie, mais il est vide, tranquille à la Maison. À peine trente Personnes assises dispersés dans la grande Église. Aussi Ajunwa agit dans le Chœur de presque un peu perdu. Pour environ 1000 anglophones Catholiques de Berlin et de Brandebourg, le Jésuite, le Père responsable. Un aimable bâtisseur de Ponts entre l’Afrique et l’Allemagne, le Nigeria et est né à Würzburg, un doctorat de a de.

Déjà, en Temps normal, c’est son métier sans une bonne Dose de Sérénité et de Confiance en dieu, de ne pas créer. Ajunwa a les deux, même maintenant. “La Foi en Dieu est notre Ancre, avec nous ces Moments difficiles de survie, et nous allons continuer sur son Aide pour la confiance”, dit-il à l’Ouverture de la célébration. Et il fait beaucoup pour que le pas des Mots vides de rester. Seul ce Dimanche, il se précipite à travers la Ville pour quatre Messes à célébrer. À sainte-Elisabeth, voire deux au lieu d’un autre. Car, par la Cérémonie sont à seulement 50 Personnes, et personne ne doit par conséquent rester à l’extérieur, devez.

Environ 40 pour Cent de tous les Africains sont des Chrétiens

Ajunwa prend du plaisir à se. Il sait ce que la couronne de Crise de ses Fidèles signifie, avant tout, le Temps sans Culte. Où les autres par Peur du Virus à la Maison einigelten, il a rencontré les mesures allaient mal, personnellement. Avec la Distance, comme il le souligne. Avec d’autres, a-t-il. Le Téléphone a sonné en permanence. Ajunwa: “Les Paroissiens ont deux Choses perdu: leur Vie spirituelle et Leur Vie communautaire. Ces Problèmes de l’Âme, de parler ou de se partager leurs Expériences positives, peuvent se réjouir. De nombreuses a fait très mal.”

La Communauté est manquant

Et beaucoup de mal encore. Après le Culte, de rencontrer les membres de la communauté en général la salle paroissiale à côté. Manger, boire, parler, parfois pendant des heures. Maintenant, l’immense Espace vide, les Chaises empilées. “Le Temps, après la Messe, est en fait une seconde Célébration”, dit le Curé Ajunwa.

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La Vie religieuse dans Corona-Temps

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Des services religieux en Allemagne de restrictions possible

Le manque de Fidèles Godwin Nwaru. De même, dit-il, qu’il ne sera jamais un Culte à sainte-Élisabeth, un raté, sauf qu’il n’est pas à Berlin. “C’est terrible”, se plaint-il, après la Messe. “Nous avons notre Communauté perdue, l’Aspect social de notre Vie est détruite. Quelques membres de la Paroisse, qui, autrefois, venaient régulièrement, nous avons depuis des Mois.” Corona-Culte, il ne lui manque, il y a dix Ans en Allemagne, et maintenant, dans Pfarrgemeinderat résiste, encore: “Notre Chorale est aussi été réduit. Auparavant, nous avions nos Tambours, Gongs et autres Instruments. Il n’est pas de bonne africaine Célébration de plus.”

Melanie ci-Dessus, chante à temps pour le deuxième Culte, dans une bonne demi-Heure pour commencer. Une orpheline de Batterie derrière elle rappelle des Temps meilleurs. Mais elle veut quand même pas se plaindre: “Je suis soulagé que nous sommes enfin de retour à l’Église et chanter ne. Ici, je vais obtenir de l’Énergie pour la Semaine prochaine. Plus de deux Mois, nous avons dû rester à la Maison. C’était pour beaucoup comme l’Enfer.”