Maharashtra: 2 ‘SIMI membres accordé la liberté sous caution

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Tout en s’opposant à leur libération sous caution moyen, le ministère public a indiqué qu’ils faisaient “anti-travail social”. (Image Représentative)
Tout en s’opposant à leur libération sous caution moyen, le ministère public a indiqué qu’ils faisaient “anti-travail social”. (Image Représentative)

Deux membres présumés de l’organisation interdite des Étudiants du Mouvement Islamique de l’Inde (SIMI), arrêté par le Maharashtra Anti-Terrorisme de l’Escouade (ATS) le mois dernier en connexion avec un 2006 cas, étaient lundi accordé la liberté sous caution par un Mumbai cour qui a observé que le fait d’être un fugueur pour une longue période, elle ne peut être un motif pour refuser la liberté sous caution.

Ejaz Khan (40) et son frère Iliyas (48), ont été arrêtés le 12 décembre de l’année dernière par l’ATS, qui a dit qu’ils étaient membres de l’interdit de l’organisation. Le parquet a déclaré que les deux hommes étaient en fuite depuis 2006, quand beaucoup ont été arrêtés sur des allégations de SIMI membres suivant de la série train de blastes dans la ville.

Tout en s’opposant à leur libération sous caution moyen, le ministère public a indiqué qu’ils faisaient “anti-travail social”. Il a dit que Iliyas, Delhi-résident, a été la zone président de SIMI entre 1999 et 2000. Le parquet a déclaré que Iliyas avait changé sa résidence de 12 fois depuis 2006, tandis que Ejaz avaient changé six fois depuis.

Avocat OA Siddiqui, apparaissant pour les deux hommes, présentés devant la cour que l’accusé avait été faussement impliqués. Il a dit que les deux étaient des étudiants dans la ville en 2006 et il n’y a pas de preuve présentés afin de montrer qu’ils étaient SIMI membres. Il a dit que les frères n’avaient pas pris la fuite, mais a quitté la ville pour leur ville natale Burhanpur dans l’etat du Madhya Pradesh, comme ils ne savaient pas que l’affaire avait été déposée contre eux.

Siddiqui a également affirmé que la prétendue littérature saisi par l’ATS comme preuve contre SIMI membres dans des cas similaires, portaient sur les bonnes manières et le respect de ses parents, qui ne peut pas être considéré comme “inacceptable”, “interdit” ou “anti-sociale” de la littérature.

La cour a pris en considération le fait que les 13 personnes arrêtées dans cette affaire ont été libérés sous caution. Les deux dernières personnes arrêtées dans cette affaire ont été libérés sous caution en 2008.

“…En fuite pour une longue période, elle ne peut être un motif pour rejeter la demande de libération sous caution. En outre, l’infraction est punie de sept ans. Compte tenu de la nature de l’infraction, la peine prévue pour elle et le fait qu’ils n’ont pas été tracée pour plus d’une décennie, en imposant des conditions strictes afin de s’assurer de leur présence, l’application peut être admis, les” séances de juge R M Sadrani dit.

Les deux accusés ont été enregistrées en vertu de plusieurs articles de la Loi (Activités de Prévention de la Loi qui se rapportent à la peine pour être membre d’une association illégale et de sanctions pour les activités illégales.

SIMI a d’abord été interdit en 2001, et une extension de l’interdiction a été notifiée de l’année dernière sous l’UAPA.

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