Général Cariappa en 1971: la Ferraille Constitution, besoin d’un régime militaire

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Général K M Cariappa ne voulais pas linguistique unis.

Semaines après Indira Gandhi a remporté une victoire écrasante dans le Lok Sabha élections de 1971, le premier Indien à la tête de l’Armée des indes, Général K M Cariappa, qui plus tard a été fait Maréchal de camp, a souligné dans un clarificatory remarque qu’il est en faveur d’une “règle militaire, que comme une mesure temporaire pour mettre les choses dans le pays”.

Exhortant les Indiens pour “réveiller” et de “PARLER”, il a affirmé que 90% serait “voter pour un Président de la cum à l’autorité Militaire pour sauver la Démocratie”.

La note signée du 7 avril 1971 a été récemment découvert dans le Karnataka archives de l’état. Il a été écrit comme une clarification pour le public, après Cariappa avait rencontré le Premier Ministre, le Ministre de l’intérieur et le président de la Lok Sabha, à la suite d’un débat Parlementaire au sujet de ses commentaires en faveur de ces mesures de manière informelle tout en s’adressant à la presse à Dhanbad en Mars 1970.

Image prise de la note.

Cariappa a été fortement critiqué pour ces remarques, y compris au Parlement. Il a ensuite déclaré qu’il avait rencontré ces dirigeants de s’excuser pour ses propos, qu’il a refusé, affirmant qu’il “n’est pas allé du dos d’un pouce”.

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Dans le de quatre pages dactylographiées note, Cariappa également préconisé la suppression de la Constitution, tous les partis politiques et linguistiques des états, et en limitant les adultes de la franchise sur la base de “l’alphabétisation”. Il voulait seulement trois partis politiques, sur les lignes de la Main, Libéraux et Conservateurs au royaume-UNI, et une nouvelle Constitution qui doit être encadrée, après une élection générale a lieu lorsque le régime militaire de rétablissement de la loi et l’ordre ” et “les choses vont bien dans le pays”.

Après une nouvelle Constitution est rédigée, pensait-il, “le Président de la cum Militaire de la Règle serait la fin de la Démocratie et la re-entrer dans sa forme pure”. De blâmer linguistique unis pour faire entendre sa voix “le glas pour l’unité du pays”, il a proposé de diviser “de l’Inde dans les zones administratives et économiques de confort sur les lignes de l’Armée de terre, tels que les Commandes de l’Armée, de l’Armée Domaines, l’Armée de terre Sous-zones et ainsi de suite”.

Maréchal KM Cariappa à propos de la politique et de la démocratie a suscité des débats, même dans les premières années après son départ à la retraite. Express Photo par R L Chopra/Archives.

Général Cariappa était très respecté et renommé officier militaire, dont l’ascension est le premier Indien à la poste de Commandant-en-Chef est célébré comme la Journée de l’Armée, le 15 janvier, et avait pris sa retraite du service actif, en 1953. Il avait attaqué deux Lok Sabha élections après son départ à la retraite, de perdre à la fois sa tente, et fut fait Maréchal par le Rajiv Gandhi gouvernement en 1986. Il est décédé en 1993 à l’âge de 94 ans.

Dans la note, il affirme que sa proposition de “Président de la cum Militaire, la règle est de ne pas être une chose permanente. Il est à seulement temporaire jusqu’à ce que la normalité des rendements”. Il écrit que si l’homme du commun “se sent qu’un sort de Président de la cum à l’autorité Militaire lui donnera de la sécurité, de lui donner une meilleure administration, une meilleure qualité de vie et ainsi de suite, il a le droit de l’exiger”.

Cependant, il fait clair qu’il n’avait “jamais été en faveur de coups d’état militaires”. Il ajoute dans la même veine que “il ne peut y avoir, ni jamais, un Coup d’état Militaire en Inde”.

Les trois raisons, il a exclu un coup d’état militaire ont été: l’immensité du pays, les trois services sont séparés et ont leurs propres chefs; et, la “hétérogénéité des Communautés dans le service ne serait pas propice à fournir pour un ensemble homogène perspectives à cet égard.”

Il va ensuite à expliquer que le régime militaire peut donc venir que “si les politiciens volontiers la main sur le pays à l’Armée, comme cela a été fait dans un pays voisin” ou “si le peuple demande une telle règle”. De toute évidence, il semblait être au bâton pour la deuxième dans la note.

La note a été découvert par l’auteur et journaliste, Sugata Srinivasaraju, qui a dit à L’Indian Express: “Les archives de l’état est tellement désorganisé que cette note est attribuée à tort à 1948. Je ne sais pas comment il a atterri là-haut. Il est placé sous la “collection privée” catégorie. Je ne sais même dont la collection privée il est.”

Cariappa à propos de la politique et de la démocratie a déclenché un débat, même dans les premières années après son départ à la retraite. Il croit qu’il a été publié que les Indiens du Haut-Commissaire de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande, de 1953 à 1956 par le gouvernement, pour l’éloigner de la scène nationale.

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