Le Ministre chargé des Sports étapes: Effacer les cas de harcèlement sexuel à SAI dans 4 semaines

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Le Ministre Chargé Des Sports Kiren Rijiju. (Express fichier photo par Prem Nath Pandey)

Un JOUR après L’Indian Express a signalé que 45 cas de harcèlement sexuel ont été signalés à 24 centres gérés par l’Autorité des Sports de l’Inde (SAI) entre 2010 et 2019, et que de nombreux cas ont traîné pendant des années, Ministre des Sports, Kiren Rijiju a ordonné vendredi que les demandes de renseignements dans toutes les affaires pendantes être “jetés dans les quatre prochaines semaines”.

Soulignant qu’il est “tolérance zéro” pour harcèlement sexuel à SAI centres, Rijiju promis de rendre le système de traiter les cas de harcèlement “plus robuste”.

“Les enquêtes qui sont en cours sera accélérée. J’ai ordonné que toutes les affaires en cours seront éliminés dans les quatre prochaines semaines. Nous veillerons à ce que le système existant de traiter les cas de harcèlement sexuel et la protection de nos athlètes, garçons et filles, est plus robuste,” Rijiju a déclaré dans un communiqué publié par le SAI.

Jeudi, L’Indian Express données obtenues dans le cadre du Droit à l’Information (dai) Loi de signaler que 29 des 45 plaintes en SAI étaient contre les entraîneurs dans des sports tels que la gymnastique, l’athlétisme, l’haltérophilie, la boxe et la lutte. Des heures plus tard, l’ancien SAI directeur général Neelam Kapur, dit le “nombre réel de cas est beaucoup plus élevé” car ce ne sont pas tous les athlètes ont eu le “courage de faire rapport”.

29 des 45 plaintes, de 2010 à 2019 ont été contre des entraîneurs dans le sport comme la gymnastique, l’athlétisme, l’haltérophilie, la boxe et la lutte. (Représentant de l’image)

Dans sa déclaration, SAI a dit qu’ils avaient reçu 35 cas de harcèlement sexuel, de 2011 à 2019, dont 27 ont été les plaintes déposées par les stagiaires à l’encontre de leurs entraîneurs. “Jusqu’à présent, la pénalité a été imposée sur les 14 personnes qui ont été reconnus coupables et l’enquête est en cours pour 15 cas. Autres cas sont soit acquitté par le tribunal ou n’a pas pu être établi,” il a dit.

L’Autorité, qui relève du Ministère des Sports, a défendu les systèmes en place, en disant: tous les cas de harcèlement sexuel sont traitées en vertu des dispositions de la Protection des Enfants contre l’Infraction (POCSO) et la Loi de 2012, et le Harcèlement Sexuel des Femmes au Monde (la Prévention, l’Interdiction et Redressal) Loi de 2013.

L’Indian Express rapport a également révélé que l’accusé dans plusieurs affaires ont laissé hors avec indulgence, avec des peines allant de transferts à une petite coupe dans le salaire ou la pension.

SAI a dit qu’ils ont une Plainte Interne, le Comité en place dans chacun des centres régionaux et des institutions académiques, qui mène une enquête préliminaire sur toute plainte reçue directement à partir d’un athlète ou d’autres sources.

“Le rapport est ensuite partagée avec l’autorité compétente pour la poursuite de l’action. Pour s’assurer qu’il n’y a pas de possibilité d’intimidation de la plaignante, l’agent de l’entraîneur, contre qui la plainte est ressuscité, il est passé de la place de l’affichage dès qu’une plainte est reçue,” indique le communiqué.

De plus, il dit des ateliers sont réalisés dans les centres de langues locales et d’un centre d’appels a été opérationnel depuis avril 2019. Selon SAI, le centre a reçu 350 appels de stagiaires sur diverses questions, en décembre 2019, tandis que le centre d’appel contacté de 1 550 athlètes dans le même mois.

Rijiju, quant à lui, a insisté sur la création d’un “environnement sûr” pour les athlètes. “Les athlètes passent leurs années de formation à SAI centres et il est de notre responsabilité la plus importante de leur donner un environnement sûr où vivre et le train,” il a dit.

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