L’inde vs pays-bas de Hockey: l’Entraîneur Graham Reid pour la tâche

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Comme l’Inde l’entraîneur en chef, l’équipe mystique de la nature, continue à susciter la même émotion dans Graham Reid. (PTI Photo)

L’inde est l’imprévisibilité serait ‘effrayer’ Graham Reid quand il a géré les abris des Australiens et néerlandais équipes. “Vous ne savez pas ce qu’ils allaient faire,” Reid, qui a la réputation de faire impeccable devoirs sur ses adversaires, dit. “Et c’était une chose très puissante.”

Comme l’Inde l’entraîneur en chef, l’équipe mystique de la nature, continue à susciter la même émotion en lui. Juste qu’il semble maintenant vraiment peur. “Maintenant, j’aimerais qu’ils aiment à être plus prévisible, donc je sais ce qui va se produire,” dit-il en riant.

Reid est en train de parler dans le contexte de la décision des joueurs de décisions. C’est un terrain épineux. Un entraîneur, Sjoerd Marijne, a perdu son emploi parce qu’il a essayé de faire les joueurs de penser par eux-mêmes plutôt que de compter sur le coach les instructions de tous les temps. Mais le fait que deux des trois derniers entraîneurs de fait l’un de leurs plus grandes priorités des points à l’importance de cet élément.

Il ne peut pas être nié que l’Inde est une autre, plus en confiance de l’équipe, en entrant dans cette décennie par rapport à la précédente. Le capitaine Manpreet Singh points de son équipe au classement mondial (numéro 5) pour affirmer à quel point ils sont venus. “Et c’est une époque où il n’y a que très peu qui sépare le top 8 des nations unies. Il montre combien nous avons amélioré”, dit-il.

Mais tout le discours de “l’amélioration” semblent creux lorsque vous regardez l’Inde performances dans les tournois que l’importance du 12e et 8e en 2012 et les jeux Olympiques en 2016 respectivement 9ème et 6ème à l’2014 et 2018 la coupe du Monde, et vainqueur six seulement de l’33 matchs contre les meilleures équipes de la FIH événements, depuis la 2014 le Trophée des Champions.

Un grand nombre de fois, la proximité de l’27 matches de l’Inde n’a pas gagné, est cité comme un indicateur de la progression de l’équipe a fait. Manpreet, par exemple, a déclaré vendredi la façon dont les marges de la défaite ont rétréci. Reid s’est empressé d’ajouter que l’2018 la Coupe du Monde de quart de finale entre l’Inde et les pays-bas aurait pu de toute façon”. Mais il a fini 2-1 en faveur des néerlandais. Et comme c’est le cas dans la plupart des haute pression correspond, en Inde défaite pourrait être attribuée à un moment de gel de cerveau, de faire les mauvais choix à un moment crucial du match.

Pour obtenir commencé la discussion sur cette question, et quelques autres, Reid a tenu une évaluation de la performance de toutes sortes pour tous les joueurs juste avant Noël. Il avait près de 60 questions, allant des joueurs de’ ensemble des compétences pour la communication et même l’alimentation, sur lesquelles les joueurs nominale eux-mêmes et les uns des autres.

“Ainsi, l’une des questions portait sur l’exécution de passe… Vous pourriez être en mesure de passer le ballon magnifiquement, votre compétence est très bon. Mais la décision de derrière qui passent, n’est pas toujours aussi bon. Droit?” Reid, qui a pris plus comme entraîneur de l’année dernière, explique. “Vous pensez que vous êtes dans huit cas sur 10, mais vos pairs pense que vous êtes sept des 10. Ce qui vous donne une sorte d’indication.”

Il classe les joueurs en trois “les mâles alpha, ceux qui sont extrêmement confiants dans ce qu’ils font, ceux du milieu et ceux qui aiment à être tout dit.”

Reid ne cherche pas à créer plus de mâles alpha dans l’équipe. Au lieu de cela, sa quête est d’obtenir un équilibre entre la croyance et le doute. “Vous avez besoin de croyance, parce que cela va vous aider à prendre de bonnes décisions, mais pas trop, parce que ça peut vous rendre plus confiant,” dit-il. “Dans le même temps, un doute est bonne car elle vous permet de rester sur le bord et évite la complaisance. Nous devons obtenir cet équilibre.”

Il pourrait être de trop de théorie, mais c’est pratiquement ce que Reid pourrait faire dans une année où l’Inde n’a pas jouer, même un top 10 des adversaire dans un match de compétition. La décision de ne pas jouer dans la première édition de la Pro League – un tournoi réservé pour le monde 8 meilleurs équipes de hockey – volé de l’Inde de la qualité de correspondre à la pratique dans l’année préolympique.

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Cependant, après que le Pakistan s’est retiré de l’événement en raison de problèmes financiers, une fente ouverte et l’Inde ne perdez pas de temps à monter dans le bus cette fois. Pour l’Inde, la Pro League viendra comme une aubaine. À l’avance de l’exercice 2012 et les Jeux de 2016, la gestion foiré la préparation à la construction pour les jeux Olympiques, laissant les joueurs blasés lorsque le tournoi a commencé.

La Pro League, en revanche, va permettre à l’Inde d’avoir une chance de jouer chacun des meilleures équipes au monde deux fois chacun. “Il trie les préoccupations concernant les horaires pour un entraîneur. En cette année Olympique, vous êtes toujours en train de penser… ” qui ne nous jouer? Ne vous voulez vraiment jouer de l’équipe que vous jouez? Les équipes de votre piscine (aux jeux Olympiques)? Pas dans votre piscine? Donc, dans ce sens, la Pro League est agréable. Nous n’avons pas à vous soucier de tout ça,” affirme-t-il, à la veille de l’Inde est entrée dans la compétition contre les pays-bas.

Et donc, ils sont de retour. Sous le soleil-dans-le-jour, breezy-par-nuit Bhubaneswar. À un endroit — Kalinga Stadium — où les visiteurs se sentent autant à la maison qu’en Inde. À la fois, de parler de la double-tête à Bhubaneswar, mais à la recherche, à Tokyo, où ils ont contrastés ambitions pour les exigeants fans hollandais, rien de moins que l’or allait faire. Pour l’Inde, qui entrent chaque jeux Olympiques, en promettant le ciel, le défi sera de passer de la parole.

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