Nanavati rapport de la commission: “Certains incidents de violence de 28 Fév pas communal, les résultats de bandh’

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Un total de 97 personnes (dont un Hindou) ont été tués dans Naroda Patiya le 28 février 2002, alors que 44 personnes (39 Musulmans et 4 Hindous), dont l’ancien Congrès MP Ahsan Jafri, ont été tués dans la Gulberg Société massacre. (Fichier)

Le rapport final de la Nanavati de la Commission déposé à l’assemblée de l’état de mercredi a conclu que certains des incidents de violence, le 28 février 2002, n’étaient pas des “communaux” dans la nature, ce qui s’est passé, mais comme le résultat de l’bandh appelé par la VHP. La Commission cite des cas où des gens, qui ont essayé d’aller sur leur vie normale “en dépit de la bandh” (une phrase qui se répète dans le rapport une couple de fois), ont été attaqués.

Le VHP avait appelé à une Gujarat bandh pour protester contre le meurtre de kar sevaks sur la Sabarmati Express le jour précédent, à Godhra. Alors que la plupart des incidents de la Commission des échantillons en vertu de cette définition sont apparemment des Hindous attaquer les Hindous et sont de la nature des attaques sur des boutiques ou des véhicules, l’un est de les Hindous de l’attaque d’un Musulman.

En fait, la grande communal de massacres dans l’état de Naroda Patiya, Naroda Gam où 108 personnes ont été tuées et Gulberg société où 69 ont été tués, est arrivé le 28 février, le jour de l’état du Gujarat bandh.

Le BJP, qui était au pouvoir dans l’état du Gujarat, avait soutenu la VHP est bandh appel, un fait qui le DGP K Chakravarthi a affirmé devant le groupe spécial qu’il a eu à connaître que lorsqu’il a assisté à la fin de la soirée, réunion présidée par le ministre en chef Narendra Modi, le 27 février. “Jusqu’à ce qu’il (Chakravarthi) ont assisté à la réunion convoquée par le premier ministre dans sa résidence, dans la nuit du 27.2.2002, il ne savait pas que le BJP a également déclaré son soutien à la bandh appel donné à la VHP,” les etats membres de la Commission.

Le rapport a conclu qu’il y avait quelques incidents “qui ont vraiment pas d’incidents de violence communautaire. Ils
qui s’est passé en raison de l’état du Gujarat bandh ” appel à 28.2.2002. Voir les véhicules circulant sur les routes ou les les boutiques et les hôtels en restant ouverts en dépit de la ” bandh’ appel, la foule a attaqué quelle que soit la communauté à laquelle ils appartenaient”.

Dans certains cas, les propriétés des Hindous, y compris leurs véhicules ont été attaqués et endommagés ou pillés par les Hindous mobs, il fait remarquer, ajoutant que le gouvernement véhicules ont également été endommagées et ainsi de tels incidents ne pourrait pas être étiquetés comme des “communaux”.

Dans le cas de Gandhinagar district, il note que de 10 incidents signalés à partir de là, on était un Hindou foule d’attaquer le camion d’un Hindou“, comme il a été vu se déplaçant sur la route, en dépit de la “bandh” appel”. Toutefois, suit immédiatement le détaillant d’un incident où, dans la nuit du 28 février, “une foule d’Hindous arrêté le camion, le mettre sur le feu et jeté les Musulmans chauffeur et son assistant dans l’incendie d’un camion. Un Hindou qui avait loué le camion, et a aussi été de voyager dans le camion a également été jeté dans la gravure de camion”. Il note que le pilote est mort, mais l’assistant et le “Hindou locataire” ont été en mesure de se sauver par la fuite.

Surtout dans le cas de Valsad district du sud du Gujarat qui a été en grande partie pacifique, la Commission note que les deux seuls incidents qui se sont produits dans le district du 28 février, ont été les attaques contre des véhicules et ils ont raison de le bandh appel.

Dans le district de Banaskantha qui a été largement pacifiques, le seul jour qui a signalé la violence était le 28 février. La Commission note que, dans ce quartier également des bus ont été attaqués alors circulant sur les routes“, en dépit de la bandh”.
Le rapport de la Commission déclare que, par la preuve, le 28 février et le 1er Mars, de district, les collectionneurs et les surintendants de district de la police a publié des instructions par le biais de messages de télécopie à leurs officiers subalternes pour maintenir une bonne bandobast et prendre des mesures préventives. Ils ont été invités “à faire face avec fermeté à toute personne tentant de troubler la paix et l’ordre”.

Selon les éléments de preuve devant la Commission, le secrétaire en chef de G Subbarao avait émis shoot-à-vue, les commandes sur Mars 1, qui est de 48 heures après le train de gravure incident. Toutefois, la Commission conclut: a la Suite de ces instructions, les officiers en charge des postes de police ont pris de telles mesures dans la mesure où il était possible pour eux de le faire dans les circonstances actuelles”.

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