La Communication est une compétence de base nécessaire pour interagir avec d’autres humains et d’en faciliter la compréhension lors du développement d’une société. Alors que presque chaque individu apprend à communiquer verbalement, malheureusement, pas beaucoup de avoir une chance pour l’éducation formelle. Avec la nécessité d’éradiquer l’analphabétisme dans l’esprit, l’idée de la célébration d’une Journée Internationale de l’Alphabétisation a d’abord été examiné le 8 septembre à 19, 1965, lors de la Conférence Mondiale des Ministres de l’Éducation à Téhéran, en Iran. Le 26 octobre 1966, l’Organisation des Nations unies pour l’Éducation la science et la culture Organisation (de l’UNESCO) se sont réunis pour la 14e conférence générale et a proclamé que le 8 septembre, sera célébré comme Journée Internationale de l’Alphabétisation.
Cette année, la 52e Journée Internationale de l’Alphabétisation sera célébrée sur le thème ” Alphabétisation et développement des compétences. Pour ILD 2018, les “compétences” les connaissances, les habiletés et les compétences nécessaires pour l’emploi, les carrières et les moyens de subsistance, en particulier des compétences techniques et professionnelles, ainsi que transférables et de compétences numériques, lire la déclaration de l’ONU.
LECTURE | L’Inde, où la connaissance est gratuit
Pour enlever le pont entre l’alphabétisation, l’apprentissage et du développement des compétences, depuis 1950, l’alphabétisation fonctionnelle est devenu un acteur de concept qui est considéré comme un ensemble de contexte-dépendant des compétences qui peuvent engager une personne avec les activités pour lesquelles l’alphabétisation est nécessaire pour un fonctionnement efficace de son groupe et de la communauté. Hormis le secteur de l’éducation, de nombreux autres secteurs tels que l’agriculture, du travail et de la santé a organisé des programmes intégrés dans la combinaison de l’alphabétisation, de compétences techniques et professionnelles, et de l’employabilité et des compétences entrepreneuriales.
Il y a plusieurs facteurs qui contribuent à l’amélioration de l’efficacité de ces programmes. Un examen des expériences Africaines, par exemple, mis en évidence deux facteurs favorables. La première est l’autorité compétente, fiable et bien pris en charge des enseignants ou des formateurs; l’autre est la prise en compte de l’intérêt des participants et des conditions dans la conception des programmes (Oxenham et coll., 2002)
Ses résultats indiquent, entre autres, la nécessité d’offre concrète et immédiate des avantages (par exemple, la génération de revenus) pour motiver les apprenants, lire la déclaration de l’ONU. L’accent renouvelé sur l’approche intégrée est fondée, d’une part, dans la persistance de l’alphabétisation et les compétences des défis, et, de l’autre, dans les nouvelles demandes de compétences et l’élan généré par le contexte actuel de la mondialisation, la numérisation et l’2030 Agenda pour le Développement Durable.
Faut Regarder
Pour toutes les dernières de l’Éducation Nouvelles, télécharger Indian Express App
© IE Médias en Ligne, les Services Pvt Ltd