Le brésil est le plus haut tribunal se bat avec l’avortement à l’audience spéciale

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En ce 22 juin 2018 photo, les femmes de participer à une manifestation exigeant la légalisation de l’avortement, à Rio de Janeiro, au Brésil. Les partisans et les adversaires de la légalisation de l’avortement a témoigné vendredi 3 août, devant le Brésil est le plus haut tribunal, qui est à deux jours de l’extraordinaire des audiences sur un problème de plus en plus débattu en Amérique du Sud. (AP Photo/Silvia Izquierdo)

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Les partisans et les adversaires de la légalisation de l’avortement a témoigné vendredi devant le Brésil est le plus haut tribunal, une session extraordinaire à une époque où le renforcement des mouvements de femmes sont en train de pousser contre souvent vieux de plusieurs décennies, les lois en Amérique du Sud.

Le premier des deux devrait les audiences à la cour Suprême Fédérale est venu, quelques jours avant le Congrès dans un pays voisin de l’Argentine devait voter sur la loi historique qui modifieraient radicalement les lois sur l’avortement dans la patrie du Pape François.

Au Brésil, profondément conservatrice de la nation qui abrite la plus grande population mondiale de Catholiques et de croissance rapide évangélique religions, l’avortement est illégal et est livré avec une peine pouvant aller jusqu’à trois ans de prison. Il y a trois exceptions: si une femme est violée, la grossesse met sa vie en danger, ou le fœtus est en état de mort cérébrale.

La question soumise à la cour est de savoir si pour autoriser l’ivg durant les 12 premières semaines de la grossesse. Les partisans soutiennent que les lois sur l’avortement, qui harken remontent aux années 1940, sont en contradiction avec les mesures de protection dans la constitution de 1988, écrit après le Brésil retour à la démocratie après la dictature. Similaire à l’avortement adversaires dans de nombreux pays, au Brésil, l’argument central est que la vie commence à la conception et finalement l’emporte sur toutes les autres considérations.

Debora Diniz, un anthropologue et professeur de droit à l’Université de Brasilia, a raconté l’histoire d’un noir femme de chambre qui, déjà du mal à élever ses trois enfants, est mort d’une infection après plusieurs tentatives de façon illégale pour interrompre sa grossesse. Citant 2016 à l’enquête menée par l’université, Diniz a noté que 1 dans 5 Brésilien femmes de moins de 40 ans ont eu un avortement illégal.

“Le crime est comment les femmes qui recourent à l’avortement”, a déclaré Diniz, qui, plus tôt dans la semaine, a dit qu’elle avait reçu des menaces en raison de sa position vocale sur le sujet.

Hermes Rodrigues Nery, de l’Association Nationale des Pro-Vie et Pro-Famille, a fait valoir qu’au lieu d’aider les pauvres, les avortements, les groupes concernés devraient se concentrer sur attaquer aux causes profondes de la pauvreté et du racisme dans l’un des pays les plus inégalitaires.

“La culture de la mort fait obstacle à notre développement en tant que nation, un développement qui ne vient que du capital humain,” dit-il.

Plus de 40 experts de toutes les parties du débat ont été appelé à témoigner sur le vendredi et le lundi, août 6, mais il n’y avait pas de scénario lorsque le tribunal pourrait rendre une décision.

L’épineuse question de fait les manchettes nationales l’année dernière quand une femme Brésilienne, Rebecca Mendes, a combattu publiquement pour mettre fin à une grossesse non désirée. Sa demande a finalement été rejetée par le haut tribunal, et elle avait son avortement en Colombie.

Les discussions au Brésil, en Amérique latine, la plus grande nation, sont comme l’Argentine est sur le point de permettre des interruptions volontaires de grossesse dans les 14 premières semaines de la grossesse. Un vote au Sénat est prévu la semaine prochaine, après la mesure adopté de justesse à la chambre basse du Congrès en juin.

Au Chili, la Cour Constitutionnelle de l’an dernier a confirmé la législation de la fin de la nation Andine de l’interdiction absolue de l’avortement, permettant à la procédure lorsque la vie d’une femme est en danger, quand un foetus n’est pas viable et qu’en cas de viol.

Au Brésil, de nombreuses propositions visant à desserrer les lois sur l’avortement au cours des dernières années n’ont pas réussi à gagner du terrain dans le Congrès, où le soi-disant “évangélique bloc” exerce une forte influence sur les questions sociales. L’an dernier, un comité du congrès a approuvé un projet de loi visant à interdire l’avortement en toutes circonstances, même si elle doit encore être voté sur le sol de la chambre.

Indépendamment de la loi stricte, on estime que 500 000 avortements illégaux sont effectuées chaque année au Brésil, selon l’2016 enquête menée par l’Université de Brasilia. Les femmes qui en ont les moyens ont la procédure dans des cliniques privées ou des voyages dans d’autres pays.

Alors que le sujet est de plus en plus débattu, il a été, mais un non-problème dans la piscine chauffée campagnes présidentielles approche des élections générales prévues en octobre. Dans une forme ou une autre, tous les principaux candidats s’opposent à l’avortement.

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