Certaines forces de mes parents émotions contre moi, dit Hadiya

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Hadiya, maintenant un étudiant de l’homéopathie en Salem, a déclaré l’apex ordonnance de la cour lui a donné deux types de liberté, de vivre selon l’Islam et de se marier avec une personne de son choix. (REUTERS)

Hadiya, dont le mariage avec Shafin Jahan a été confirmée par la Cour Suprême la semaine dernière, le lundi dit qu’elle a eu à subir le harcèlement mental pour les deux dernières années pour embrasser une religion et d’épouser une personne de son choix.
Avec son mari, Hadiya s’adresse à une presse de répondre organisées par des radicaux tenue du Front Populaire de l’Inde. Samedi, le couple a visité PFI siège de Kozhikode et a remercié ses dirigeants qui, ils l’ont dit, pris en charge leur bataille juridique. La Cour Suprême jeudi mis de côté la Haute Cour de Kerala ordonnance d’annulation de leur mariage.

“J’ai perdu deux ans de ma vie depuis que mes parents ont déménagé à l’habeas corpus moyen, la haute juridiction pour contester mon mariage. On ne devrait pas être inquiété pour avoir sélectionné une religion de son choix. J’ai embrassé l’Islam, comme la feuille de route pour le mariage. J’ai accepté une religion qui je me suis senti est authentique.’

Hadiya, maintenant un étudiant de l’homéopathie en Salem, a déclaré l’apex ordonnance de la cour lui a donné deux types de liberté, de vivre selon l’Islam et de se marier avec une personne de son choix. “Je pense que j’ai échappé à six mois de calvaire, j’ai subi à la maison. Même les psychiatres est venu pour donner des leçons sur Hindoue Sanathana Dharma.’

Hadiya avec son mari Shafin Jahan à kozhikode. (Express Photo)

Elle a dit que, après la conversion, elle avait peur de la réaction de ses parents et cela l’a forcée à rester à l’écart de sa maison. “J’ai réalisé que mes parents ont été influencés par certains anti-forces nationales. Mes parents se tenait près de moi quand je suis devenu Musulman, je n’aurais pas fait face à cette situation.”

Certaines forces de mes parents émotions contre moi,” dit-elle. Elle a dit qu’elle ne veut pas être appelé par son nom Hindou Akhila. “Je ne suis pas Akhila. Quel est le problème dans le choix du nom Hadiya?’ elle a demandé. Elle a dit que, après le verdict de la Cour Suprême la semaine dernière, elle n’avait pas communiqué ses parents. “Cela va prendre du temps pour eux de réaliser la vérité.’
Elle a nié qu’elle avait prévu de migrer vers le Yémen sous l’influence de Sherin Shahana et Fazil Musthafa, qui ont poursuivi des études Islamiques au Yémen. C’était de sa connaissance avec ce couple grâce à laquelle Hadiya le père de K M Asoka a déposé une seconde requête en habeas corpus au moyen de la haute cour, alléguant qu’il y avait une offre à faire de sa fille de rejoindre l’Etat Islamique. Hadiya a dit qu’elle a pris contact avec le couple à travers les médias sociaux. “J’avais décidé de vivre comme un Musulman bien avant de me connaître.”

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