Sohrabuddin de l’affaire: Accusé et de son avocat absent lors de l’enregistrement de la preuve, la cour spéciale de questions NBW

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Sohrabuddin Shaikh et de son épouse. (Photo D’Archives)

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Un tribunal spécial au vendredi délivré un non-bailable mandat contre accusé Balkrishna Chaubey après que ni lui ni son avocat n’étaient présents devant le tribunal alors que la preuve a été enregistré dans la Sohrabuddin Shaikh rencontrer des cas. Juge spécial S J Sharma a dirigé la CBI pour exécuter le mandat et de s’assurer de sa production devant le tribunal. Vendredi, le RCC a été d’examiner deux témoins de la poursuite, — un agent de police avec la police du Gujarat et un IPS agent liées à la Sohrabuddin cas. Après l’interrogatoire principal par le procureur spécial B P Raju a été achevée, la cour a commencé l’enregistrement d’un contre-interrogatoire des témoins par les avocats de la défense. Alors que tous les autres accusés ont été représentés par leurs avocats ou par eux-mêmes, Chaubey et de son avocat Devendra Shukla étaient tous les deux absents. À ce point, la cour a noté son absence et a demandé qu’un mandat émis à l’encontre de l’accusé.

“Malgré des demandes répétées dans le passé qui lui de coopérer avec la cour dans l’examen des témoins, il (Chaubey avocat) n’a pas prêté attention. Dans cette situation, il est difficile de procéder à l’examen d’autres témoins,” a déclaré la cour, tout en délivrant un non-bailable mandat contre Chaubey. La cour a ajourné l’audience. Les deux témoins ont voyagé du Gujarat pour l’audience. Procureur spécial Raju a dit à la cour avec le mandat, l’accusé doit être fait afin de payer les frais encourus par les témoins dans un voyage à Mumbai, y compris les billets d’avion de coût encouru par l’IPS agent, bien qu’aucune demande formelle n’a été faite jusqu’à présent. Chaubey, qui était un de la police des sous-inspecteur de la police du Gujarat, au moment de l’infraction, en 2005, avait par l’intermédiaire de son avocat jeudi à obtenir une exonération, affirmant qu’il était son fils à l’examen. La cour avait ordonné de lui d’être présent avant le samedi comme l’un des témoins aura besoin de sa présence pour l’identification. Compte tenu de la difficulté à se rendre dans le Gujarat, le Rajasthan et de l’Andhra Pradesh pour l’accusé, le tribunal avait ordonné qu’ils restent présents dans la cour lorsque les témoins relatives à leur identification sont en cours d’examen. Autrement, leurs avocats représentent à eux en leur absence.

Vendredi, la cour a dit, en l’absence de tout représentant, il ne peut pas enregistrer son contre-interrogatoire, même si il a comme tous les autres avocats de la défense voulait baisse de contre-interroger le témoin. Selon le RCC, Chaubey est soupçonné d’avoir participé à la séquestration de Sohrabuddin et sa femme Kausarbi et a participé à la disposition de son corps.

Le premier témoin, vendredi, 36 ans, agent de police avec la police du Gujarat, a dit à la cour en 2005, il travaille avec l’Anti-Terrorisme de l’Escouade, le Gujarat. Il a dit à la cour lorsqu’il a déclaré au devoir, il a été dit à la rencontre de Sohrabuddin avait eu lieu. Il a dit qu’il était chargé d’aller à l’hôpital civil où le post-mortem de Sohrabuddin avait eu lieu. Il a dit qu’il a vu beaucoup de la foule se rassemble à l’hôpital et avait rencontré son aîné, le surintendant adjoint, ATS, M L Parmar, à l’hôpital.

Le témoin a identifié Parmar, maintenant un accusé dans l’affaire, assis dans la salle d’audience. Le témoin a dit à la cour plus tard dans la journée, il a été remis Sohrabuddin et vêtements de six bouteilles d’échantillons, y compris les viscères par le médecin-chef de service à l’hôpital. Il a ensuite dit à la cour qu’il avait remis au cours de la même Parmar à l’ATS bureau. Parmar est accusé de dépôt d’une atténués rapport de synthèse indiquant que la rencontre de la Sohrabuddin le 25 novembre 2005, était authentique. Lui a demandé s’il pouvait identifier les vêtements, le témoin a dit qu’il n’avais pas l’air comme ils ont été enveloppé dans un journal.

La cour continuera à enregistrer des témoignages, samedi, lors de quatre témoins sont susceptibles d’être examinées par la CBI.

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