Craignant la rencontre, les deux présumés JUSQU’criminels portent des pancartes avec l’engagement de ne commettre un crime

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“Je ne vais pas impliqué dans un crime au futur, et à travailler dur pour prendre soin de ma famille et de moi-même),” lire l’un des pancartes. (Source: ANI/Twitter)

Deux jours après l’Uttar Pradesh Ministre en Chef Yogi Adityanath informé le Conseil Législatif que la police rencontre dans l’état continue, deux présumés criminels ont été vus portant des pancartes dans Kairana qui dit qu’ils ne commettent pas de crime dans l’avenir, a rapporté l’ANI. L’incident s’inscrit dans le sillage de la vague de répression contre les criminels dans l’état.

“Principal aage bhavishya mein koi apraadh nahi karunga aur mehnat majdoori karke apna aur apne parivaar ka aharan-poshan karunga (je ne vais pas impliqué dans un crime au futur, et à travailler dur pour prendre soin de ma famille et de moi-même),” lire l’un des pancartes, selon ANI visuels.

L’Uttar Pradesh, la police a également partagé sur Twitter une combinaison de photo de rapports sur la remise de la présumés criminels. Le texte qui accompagne la photo lire: “la Police se nahi, le crime se darr lagta hai sahab (j’ai peur de la criminalité et pas la police).” La légende a été écrite à la manière d’un célèbre dialogue de la part d’un flic-film.

Jeudi, le CM a informé l’état Conseil Législatif que 40 criminels ont été tués dans de 1 200 rencontres en l’état jusqu’à présent, ajoutant que la sympathie pour les criminels qui était dangereux pour une démocratie. Plus tôt, Adityanath a dit également que les criminels de l’etat doit être répondu dans une langue qu’ils comprennent. Ceux qui croient en pistolet, il convient de répondre en arrière en utilisant le pistolet, il a déclaré lors d’un événement à Gorakhpur.

Le Adityanath gouvernement qui est arrivé au pouvoir l’année dernière, a fait face à des critiques sur le nombre impressionnant de police de rencontres en l’état. La question a soulevé des inquiétudes dans différents quartiers. Le 22 novembre, la Commission Nationale des Droits Humains (CNDH) a également émis un avis au gouvernement de l’état de plus de 19 rencontres dans les six mois. Des membres de l’Opposition ont aussi soulevé la question à l’Assemblée et le Parlement.

(Plus de détails attendu)

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