La cour n’est pas super gardien de la progéniture adulte, dit la Cour Suprême

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La Cour Suprême. (Express Photo par Tashi Tobgyal)

Une personne dès l’atteinte de l’âge de la majorité, ou à l’âge adulte, est en droit de faire son choix et les tribunaux ne peuvent pas agir en tant que super tuteurs ou d’assumer le rôle de “la doctrine parens patriae” aussi longtemps que le choix reste, la Cour Suprême a déclaré vendredi.
La doctrine Parens Patriae est une doctrine en vertu de laquelle un tribunal agit comme le fournisseur de la protection à ceux qui sont incapables de prendre soin d’elles-mêmes, telles que les mineurs.

Les commentaires sont venus de trois-juge banc, dirigé par le Chef de la Justice de l’Inde, Dipak Misra dans le contexte d’une bataille pour la garde entre une paire de parents divorcés pour leur fille. La jeune fille dit à la cour, vendredi, qu’elle préférait être au Koweït, où son père travaillait, et qu’elle voulait se concentrer sur sa carrière.
Audience des pétitions déposées par la mère, le banc le 1er septembre 2017, avait demandé au père de produire de la jeune fille devant elle.

Le banc interagi avec elle dans la cour et a cherché à connaître son âge. Elle a répondu qu’elle était née le 19 septembre 1998. La femme soumise qu’elle était la poursuite de l’obtention de son diplôme par correspondance à partir de l’Indira Gandhi National Open University et a été stagiaire au sein d’une entreprise de technologie au Koweït.

“Pour moi, ma carrière est important. Je voudrais revenir au Koweït afin de continuer mes études. Je ne suis pas intéressé par un déménagement en Inde”, dit-elle. La cour a fait remarquer qu’elle avait atteint “l’âge de la majorité” et “le droit de faire son choix. Les tribunaux ne peuvent, aussi longtemps que le choix reste, assumer le rôle de la doctrine parens patriae. La fille a le droit de jouir de sa liberté comme la loi le permet et que la cour ne devrait pas assumer le rôle d’un super gardien…. Nous disons donc sans aucune réserve.”

La mère avait allégué que la fille était sous l’influence du père et n’était pas en parlant de son propre. Elle a mentionné à quelques mails écrit par la fille de sa pour étayer l’accusation. Mais la cour a déclaré: “… Nous sommes de l’opinion que comme une grande, elle est en droit d’exercer son choix…. Ce qu’elle a déclaré devant la cour, que seuls des sujets et qui est le cœur du raisonnement de la cour.”

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