L’Engagement dans une époque de turbulences

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Le premier Ministre Narendra Modi avec le Président Chinois Xi Jinping (Source: PTI)

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Environ six semaines en Inde sèchement et publiquement refusé d’assister le Président Chinois Xi de la Ceinture et la Route Forum à Beijing. L’inde est camouflet de Pékin est à la fois atypique et controversé, mais pas inattendu. Depuis, le Premier Ministre Modi et son hauts fonctionnaires ont été engagés dans une trépidante circuit de visites et de diplomatie, avec un ensemble diversifié de partenaires et d’interlocuteurs. Ceux-ci ont inclus la Banque Africaine de Développement pour des Réunions Annuelles à Gandhinagar; la réunion de l’Organisation de Coopération de Shanghai à Astana; un cycle de visites dans les pays pour la Russie, l’Espagne, la France et l’Allemagne; et, plus récemment, aux états-unis, le Portugal et Les pays-bas.

Lorsque le Premier Ministre est impliqué, de la défense et de la sécurité problèmes de dominer. Mais en tant qu’économiste, je crois que l’Inde bénéficiera d’un engagement plus profond avec l’économie mondiale, même en ces temps d’incertitude; et que l’Inde est désormais suffisamment influente pour aider à façonner le monde émergent, la commande devrait-il choisir de le faire.

J’étais présent à la Ceinture et la Route du Forum (BRF) à Pékin, lorsque l’Inde a publié sa déclaration pourquoi il a refusé de participer à la Chine-led sommet. Il semblait y avoir un grand écart entre le concept de la Ceinture et la Route de l’Initiative et telle que comprise par le Ministère des Affaires Économiques (MEA). Point de prêter à confusion, la “Ceinture” se réfère à l’est-ouest des terres de la connectivité entre le Pacifique et l’Atlantique via l’Asie centrale et l’Europe, tandis que la “Route” se réfère à l’maritimes de l’arc qui relie la terre des rayons.

L’inde est proche des préoccupations semblent être particulièrement parlé, la Chine-Pakistan Corridor Économique (CPEC) et les différents points de l’arc, notamment de Gwadar au Pakistan, ainsi que de Hambantota et Colombo ports au Sri Lanka. Il n’est pas question que la BRI est diffus, amorphe et Sino-centrée sur la conception et l’orientation. Pourtant, la Ceinture composant est déjà en fournissant des terres de la connectivité à un grand, riche en ressources étendues de l’Asie Centrale, qui est autant en Inde, dans l’arrière-pays que la Russie et la Turquie et les Présidents Poutine et Erdogan, les deux ont choisi de participer.

Il est également quelque peu condescendant de faire valoir, comme l’Inde l’a fait, que les membres de l’Union Européenne comme la Hongrie (un pays de la Ceinture de voie de transit) pourrait facilement être pris dans un piège de l’endettement, même s’il est vrai que l’UE a exprimé des préoccupations sur le besoin de cohérence de la BRI projets établis de financement et d’approvisionnement des protocoles des états membres de l’UE.

La chine présentation de la BRI objectifs est beaucoup plus large que juste la physique et de la connectivité numérique et il est de ces dimensions supplémentaires qui soulèvent des plus importants défis (et les opportunités) pour la diplomatie Indienne. Selon le souhait exprimé par le Président Xi dans son discours à Davos, en janvier, la Chine se voit lui-même comme porte-drapeau pour la poursuite de l’intégration de l’économie mondiale à un moment où le soutien de pays les plus riches est en déclin.

Moins claire est la relation de cette Mondialisation 2.0 avec les institutions de la gouvernance mondiale, que ce soit sur la base des traités des Nations Unies, l’Organisation Mondiale du Commerce, Fonds Monétaire International, la Banque Mondiale et les banques régionales de développement) ou de manière plus informelle des organisations telles que le G-20. Frustration face à la lenteur de la réforme des institutions a été une motivation importante pour la Chine de leadership dans la création de l’Asian Infrastructure Investment Bank (AIIB) et pour les pays BRICS conjointement le parrainage de la Nouvelle Banque de Développement dont le siège est à Shanghai, dans le cadre d’un chef Indien de l’exécutif.

Articulés par les gouvernements successifs, en Inde, la politique étrangère a toujours cherché à créer un environnement externe qui prend en charge sa transformation économique et sociale. Depuis que l’Inde est historique, si tardive, la prise en 1991 à rechercher une plus grande intégration dans l’économie mondiale, ces conditions ont inclus une ouverture du commerce et de l’ordre financier dont les règles ont été établis par les pays les plus riches, essentiellement les pays du G-7 et a adhéré par l’Inde, peut-être avec une certaine grogne le long du chemin.

L’arrivée de la Chine comme de plus en plus important compositeur de normes mondiales peut être inconfortable pour l’Inde, mais est quasi-inévitable et doit être prévue. Cela me ramène à notre Premier Ministre récente des activités diplomatiques, en particulier l’attention portée à une grande variété de capitales Européennes au cours des dernières semaines.

Alors que le calendrier peut avoir été fortuite, notre visite du Premier Ministre est venu peu de temps après une insatisfaisant G-7 sommet en Italie et visible de stress dans la relation entre le Président AMÉRICAIN et la Chancelière allemande. Le succès extraordinaire de Président Macron dans les élections à l’Assemblée Nationale est de bon augure pour un retour au français-allemand de leadership en Europe à un moment où l’économie dans la zone euro est en train de faire mieux que dans un tout.

Ce n’est pas de nier les différences importantes qui continuent d’exister entre l’Inde, l’UE au niveau de la Commission et avec chacun des capitales sur un large éventail de questions économiques et sociales. C’est plutôt à appeler nos planificateurs de politiques dans les deux directions. La première est de s’engager plus activement sur les questions de gouvernance mondiale que nous avons fait habituellement, comme étant une “free rider” est peut-être moins à l’aise pour l’Inde qu’il en a été dans le passé.

La deuxième est l’importation d’une phrase à partir de la diplomatie Européenne: la géométrie variable. Nos efforts diplomatiques ont de la bonne volonté avec un large éventail de partenaires, notamment les etats-unis, le Japon, la France et l’Allemagne. Comme l’a démontré lors du sommet de l’OCS, nous avons également maintenir une relation de travail avec la Chine, malgré de nombreuses différences sérieuses. Il faudra des pirouettes pour développer des coalitions sur les questions qui comptent pour nous.

Comme nous l’avons découvert en 1991, une période de turbulences mondiales pourrait aussi être un moment d’occasion.

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